Auteur/autrice : temporama

Se lancer dans un projet professionnel en créant son entreprise est une superbe aventure. Tout le monde rêve d’être son propre patron. Mais avoir une idée à mettre en place ne suffit pas. Il faut la développer pour que le projet marche. Qu’est-ce qu’il faut faire avant de sauter le pas ? Plusieurs personnes ignorent les essentiels quand ils se lancent dans un projet d’entreprenariat. Le manque de moyen, de stratégie claire et surtout de planning précis les amènes tous aux échecs.  

Dans cet article, vous découvrez les différentes mesures à mettre en place pour faire fructifier votre idée d’entreprendre.

Avoir un plan budgétaire précis

L’objectif principal d’un commerce est de gagner de l’argent. Mais pour gagner cet argent, il faut un investissement quel que soit un investissement physique, mental ou financier. Vous pouvez toujours essayer de travailler sans relâche pour pouvoir gagner votre vie mais le chemin sera difficile et très long. Surtout, ce n’est même pas sûr que vous puissiez arriver au bout de votre idée.

Pour raccourir ce chemin et gagner du temps, il est important de réfléchir aux stratégies de développement et prévoir du budget nécessaire pour y consacrer.

Savoir être entouré de bonnes personnes

Se faire accompagner est une des clés de réussite. Tous les entrepreneurs qui ont réussi, ne travaillent jamais seuls. Ils ont tous des conseillers, des experts qui sont là pour les guider à prendre les meilleures décisions.

Par exemple, un gestionnaire de patrimoine peut vous conseiller pour un investissement immobilier. Un expert-comptable vous aide à établir vos comptes et vous donne des conseils pour améliorer votre résultat.

Il est donc important d’être entouré de bonnes personnes compétentes car chacun a sa spécialité. Vous êtes bon en développement commerciale mais peut-être pas bon en nouvelle technologie. Grâce à leurs expériences, ces experts ont un œil critique que vous n’avez pas peut être pas. Leurs conseils sont précieux pour avancer dans votre projet.

Par contre, il faut noter qu’il est difficile de trouver un bon spécialiste compétent car tout le monde prétend être expert dans son domaine. Il faut donc savoir trier et surtout écouter le professionnel qui partage la même vision que vous. Le mieux est d’écouter votre instinct et poursuivre votre envie.

Développer votre réseau

Comme indiqué ci-dessous, un des moyens pour avancer vite et de manière certaine pour atteindre votre objectif est de se faire accompagner. Néanmoins, avoir des experts autour de vous ne suffit pas. Il faut aussi créer votre propre réseau, la communauté par exemple. C’est la raison pour laquelle le marketing de réseaux est important dans le business actuel.

Ce réseau va vous permettre d’échanger avec les autres entrepreneurs qui ont connu les mêmes problèmes que vous. Leurs conseils vont vous guider à trouver plus facilement et rapidement les solutions à vos soucis.  Vous pouvez aussi trouver des prescripteurs, des partenaires, des clients au sein de ce groupement. Les échanges peuvent vous donner des idées nouvelles pour améliorer votre activité et même peuvent être un soutien qui vous motive à continuer votre aventure.

La communauté est donc une façon de développer votre clientèle.

Adhérer à des réseaux professionnels

C’est une manière de développer votre réseau. Adhérer à des réseaux professionnels est une excellente idée. Vous y trouverez plusieurs avantages. Mais il faut savoir exploiter les bénéfices que vous pouvez tirer de ces groupements professionnels. Il est inutile d’adhérer à plusieurs clubs. Choisissez un qui vous inspire et investissez-vous réellement dans ce dernier.

Surveiller et collaborer avec ses concurrents

C’est difficile de partager la part de gâteau avec les autres. Cette mentalité est ancrée dans nos gènes depuis tout petit. C’est normal. Alors, les concurrents, vous ne les aimez pas.

Détrompez-vous, il y a suffisamment de travail pour tout le monde. Il est dès fois intéressant de collaborer avec ses concurrents. Vous n’avez jamais entendu la phrase « l’union fait la force » ? C’est exactement ça. Travailler avec ses concurrents et partager chacun son expertise peut vous faire gagner une bonne part de marché. Vous pouvez vous renvoyer mutuellement des clients lorsque leurs demandes ne correspondent pas à vos expertises.

Collaborez mais aussi surveillez vos concurrents directs. C’est la façon d’être toujours à la page et ne pas faire dépasser par ces confrères. Il est parfois intéressant de piocher certaines de leurs idées pour améliorer vos services ou vos produits.

Perfectionner votre projet avant de se diversifier

Pour que votre idée fonctionne à la perfection, il est vital de se concentrer et de maîtriser votre projet. Votre spécialité est votre force. C’est un argument principal pour conquérir votre marché et vous différencier des autres concurrents. Si vous arrivez à satisfaire votre clientèle avec votre expertise, ils resteront fidèles et reviendront toujours vers vous.

Il est donc inutile de se diversifier lorsqu’il s’agit de commencer une activité. Développez-la. Quand elle est viable, vous pouvez commencer à vous lancer dans d’autres projets. C’est maintenant que la diversification est une stratégie viable.

Cibler votre audience

Pourquoi est-il important de cibler sa clientèle ?

Les consommateurs sont nombreux et partout : les entreprises, les ménages, l’Etat, les hommes, les femmes, les enfants… Mais chacun a son besoin particulier. Vous ne pouvez pas vendre par exemple, vos produits de maquillage aux hommes. C’est pour cette raison là qu’il est important de cibler votre clientèle. Plus votre cible sera précise, plus il vous sera facile de la convaincre et de proposer une offre qui correspond à leurs attentes.

Déléguer les tâches

Pour économiser de l’argent, plusieurs entrepreneurs débutants essaient de tout faire eux-mêmes. Il faut noter que le temps est plus important que l’argent. Vous n’avez que 24h par jour, ni plus ni moins. Le temps, vous ne pouvez pas le contrôler contrairement à l’argent. Pour gagner ce temps précieux, déléguez certaines tâches que vous ne maîtrisez pas ou qui sont moins importantes. Les autres personnes qui sont spécialistes dans leurs domaines peuvent les faire à votre place, même mieux que vous.

Il vaut mieux consacrer ce temps précieux à d’autres réflexions, ou à des recherches de stratégie pour faire progresser votre projet.

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Chaque année, le marché de l’immobilier ne cesse d’évoluer. Le prix des biens immobiliers ne fait qu’augmenter. Le prix flambe dans les grandes villes comme Paris, Lyon ou Nice. La situation ne fait qu’empirer, ce qui limite la possibilité d’accéder à la propriété pour les ménages.

Néanmoins, il existe des solutions pour payer moins cher son bien immobilier. Aussi surprenant que cela puisse paraître, ces pratiques existent depuis toujours. Pour les investisseurs, ces méthodes sont des occasions idéales à ne pas rater pour dénicher une perle rare tout en bénéficiant une décote intéressante. Certaines méthodes sont méconnues et sont moins utilisées dans la pratique. Mais sachez qu’elles vous permettent de faire des économiques conséquentes. A vous de choisir la méthode la mieux adaptée à de votre projet en fonction de votre stratégie patrimoniale et de votre perception de risque.

Je vous liste dans cet article quelques astuces qu’on ignore mais qui mérite bien une réflexion, pour se lancer dans le projet immobilier.

Le bail réel solidaire

Le bail réel solidaire (BRS), instauré par l’Etat, est un bail de longue durée, réservé prioritairement aux ménages à revenus modestes qui ne disposent pas assez de moyen pour accéder à la propriété et de se loger confortablement. Ce bail est géré par les Organismes de Foncier Solidaire (OFS), qui achètent des terrains et réalisent des logements destinés à la location ou à l’accession sociale.

C’est une façon d’acheter son logement à bas coût, jusqu’à 40% moins cher que le prix du marché. L’idée est n’acheter que le mur. Vous ne payez donc pas le foncier ni la taxe liée à la propriété du terrain. Vous êtes dans ce cas propriétaire de votre logement mais locataire du terrain, qui reste en effet la propriété de l’OFS. En contrepartie, vous devez supporter un loyer de terrain, qui s’élève à 90€ par mois, pendant 50ans. Le coût total de l’opération revient à 54 000€, étalé sur 50 années de location. Le montage s’avère donc très intéressant pour les familles qui remplissent les conditions d’éligibilité au dispositif et qui veulent posséder un bien immobilier. A la fin du bail, l’OFS redevient propriétaire de la construction, contre une indemnisation de l’occupation.

Pour résumer, voici les avantages de ce dispositif sont :

  • Vous bénéficiez d’’un prix réduit d’acquisition
  • Vous économisez le prix du foncier qui représente généralement 15 à 30 % de la valeur d’un bien immobilier
  • Vous bénéficiez d’une TVA réduite, très avantageuse à seulement 5,5 %.
  • Vous profitez d’un abattement de la taxe foncière jusqu’à 30 %, selon les communes
  • Vous bénéficiez d’une garantie d’achat
  • Vous pouvez financer votre projet avec un prêt à taux zéro, un crédit immobilier dont les intérêts sont financés par l’Etat.

Achat son bien aux enchères

Vous connaissez déjà le principe de vente aux enchères. On trouve tous type de bien : des œuvres d’art, des bijoux, de la vaisselle, des meubles… Mais la vente immobilière reste encore méconnue au grand public.

Pourtant cette opération peut être très intéressante si on est bien informé des règles spécifiques qui encadrent ce mode d’achat. Il existe plusieurs types de ventes immobilières aux enchères : notariale, domaniale et judiciaire.  La forme la plus connue est la forme notariale mais il semble qu’elle n’est pas la meilleure option pour réaliser les meilleures affaires. Avec la vente domaniale, vous pouvez acquérir des biens d’Etat tels que la caserne, les gares, les terrains ou même les habitations issues de successions vacantes. Ce sont des habitations qui n’ont pas d’héritiers. Pour trouver la bonne affaire, il faut participer aux enchères immobilières judiciaires car ce sont des biens saisis, des biens mises en liquidation judiciaire ou de divorces qui sont en vente. La décote est généralement fixée à 30% en dessous du prix estimé. Par contre, cette opération impose le recours d’un avocat pour participer à la séance. C’est lui qui est habilité à porter les enchères pour votre compte.

Acheter un logement occupé par un locataire

Vous avez sûrement déjà vu des annonces de biens immobiliers vendu-loués. Oui, il s’agit d’un logement déjà occupé par un locataire. Le montage s’avère très avantageux et en même temps peu risqué.

Il est intéressant parce que non seulement vous bénéficiez d’un prix d’achat réduit, mais aussi vous devenez le nouveau bailleur du logement aux mêmes conditions que le prédécesseur. Si votre projet est un investissement locatif, ce type de bien est idéal. Vous n’avez donc pas besoin de faire toutes les démarches nécessaires pour trouver un locataire. Il est déjà sur place et le bien vous génère donc chaque mois, un revenu foncier.

Côté prix, vous pouvez bénéficier d’une décote qui peut atteindre entre 10 et 15% du prix de bien selon les cas. Elle dépend de plusieurs critères : la nature du bail en cours, la durée de bail, la solvabilité du locataire, le loyer pratiqué, la qualité du bien, la superficie, les charges… etc.  

Intéressant comme opération mais elle est aussi risquée. La seule raison c’est que si vous voulez récupérer votre bien, vous n’avez pas la possibilité d’expulser le locataire sans raison valable. Mais ce point négatif peut être maîtrisé puisque toutes les informations concernant le logement et le locataire doivent vous être fournies lors de la signature de promesse de vente. Vous avez toutes les données nécessaires pour savoir si votre investissement est risqué, assez rentable ou pas. Vous n’aurez donc pas de surprise.  

Achat un bien immobilier en viager

Achat en viager est une autre forme d’achat d’un bien à prix réduit. La vente fait la plupart du temps l’objet d’une décote, qui peut s’élever à 30% voire 50% du prix du marché, rente comprise.   

Le principe du viager est que l’acquéreur s’engage à server une somme mensuelle, trimestrielle ou annuelle au vendeur jusqu’à sa mort. L’acquéreur devient propriétaire tout de suite dès la signature du contrat. Cependant, la possibilité de récupérer le bien dépend du contrat.

Voici les différents types de viager immobilier : libre, à terme et occupé. Si vous choisissez le viager libre, vous allez pouvoiroccuper le logement après la signature du contrat puisque le logement en question est libre. Pour le viager occupé, vous ne pouvez occuper le logement qu’après le décès du vendeur ou après son transfert dans la maison de retraite.En fin, si vous optez pour un viager à terme, le nombre d’année de paiement de la rente est déterminé et il faut attendre le décès du crédirentier pour pouvoir récupérer le bien.  

Concernant le bouquet initial, le vendeur peut exiger une somme de l’acheteur au moment de la signature du contrat. Cette somme correspond à entre 20% et 30% de la valeur du bien. A noter que si le bouquet initial est faible, la rente est donc plus élevée. 

Malgré les avantages qu’on peut bénéficier, cette opération comporte quelques contraintes.

  • L’acheteur paie les charges du notaire
  • Il peut payer plus que la valeur réelle du bien si le vendeur vit encore longtemps
  • Les grands travaux sont à la charge de l’acheteur
  • Il ne peut pas jouir du bien tant que le vendeur est en vie
  • Le contrat peut être annulé si le vendeur décède dans les 20 jours après la signature du contrat
  • L’acheteur peut décéder avant le vendeur.

Savoir acheter un bien immobilier

Il ne faut pas se lancer à la légère dans l’achat d’un bien immobilier. La prudence doit être de mise. En effet, il faut savoir que rembourser un crédit implique de s’endetter pour de nombreuses années. Cela doit se faire de façon réfléchie. Il faut ainsi se poser un certain nombre de questions avant de franchir le pas. Pour en savoir plus, nous vous conseillons de consulter cette page : https://www.immobilier-danger.com/Premier-achat-immobilier-25-244.html. Il en résulte que contrairement à ce qu’on pense, louer son logement n’est pas forcément toujours synonyme de jeter l’argent par les fenêtres.

Certes, on part du principe que le loyer est une dépense alors que le remboursement d’un prêt dédié à son logement est un investissement. Mais ce n’est pas toujours le cas et il est parfois préférable de louer plutôt que d’acheter. Néanmoins, et en tout premier lieu, il convient de trouver le bien idéal. Il ne faut donc pas hésiter à aller regarder les vitrines des agences immobilières ni à éplucher les petites annonces. Par contre, il faut savoir qu’en général les frais d’acquisition sont à la charge de l’acheteur et il faut en tenir compte lorsqu’on établit son budget. Une fois que toutes les précautions ont été prises, on peut se lancer dans l’aventure et enfin devenir, comme près de 50 % des Français, propriétaire de son propre logement.

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Vous avez trouvé votre bien idéal ? Le compromis est déjà conclu ? Maintenant, la prochaine étape est de négocier un prêt immobilier.

A partir de la date de signature de promesse de vente de bien immobilier, vous avez 45 jours, pour négocier un prêt pour votre projet d’achat. Pour cela, il y a plusieurs possibilités. La première solution est de passer par un intermédiaire financier, c’est-à-dire un courtier qui se charge de vous trouver un taux le plus avantageux possible. La deuxième solution, vous montez vous-même votre dossier de prêt.

Si vous optez pour cette deuxième solution, voici les points clés que vous devez prêter attention pour convaincre votre banquier. 

Présenter votre bon profil emprunteur

Votre profil emprunteur parfait est un des éléments clés qui favorise l’accès au prêt. Pour cela, vous devez justifier votre capacité de rembourser sans soucis le crédit.

Avoir un apport personnel

Disposer un apport personnel important est un point positif qui donne de la valeur à votre dossier de prêt. Cela justifie votre capacité à épargner et votre intérêt pour le projet d’achat immobilier. Lors de la négociation, les établissements bancaires peuvent vous demander un apport personnel. C’est classique et ça arrive très souvent. Mais ne pas pouvoir fournir un apport ne veut pas dire que votre demande est automatiquement refusée.  

Toutefois, plus l’apport sera conséquent, plus le banquier regardera d’un bon œil votre dossier. Entre 15 et 30% du montant total, la négociation devient plus facile pour obtenir un taux très avantageux. Il est donc conseillé d’avoir un minimum requis qui correspond au moins aux frais de notaire liés à l’opération. Vous pouvez utiliser votre PEL pour le financer. Votre prime de participation ou d’intéressement peut également constituer un apport. Ce serait donc l’occasion idéale de la débloquer avant son terme.

Justifier un taux d’endettement faible

Pour négocier correctement, un prêt immobilier, il est nécessaire de démonter un bon taux d’endettement. C’est est un élément très convaincant pour argumenter et assurer votre banque. Il s’agit d’un rapport de mensualité de prêt sur vos revenus mensuels. En général, le seuil acceptable pour le banquier est 1/3, soit 33,33%. C’est le pourcentage considéré comme limite pour pouvoir vivre confortablement. Au-delà de 33,33%, votre dossier risque d’être rejeté à moins d’avoir des revenus très confortable. Ce taux vise à garantir au ménage ce qu’il lui reste à vivre. Certes le reste à vivre ne peut pas être déterminé de la même manière si vous gagnez 2000 € par mois ou si 10 000€ par mois. Le reste à vivre pour les revenus de 10000€ est de 6666€, beaucoup plus confortable que celui de 2000€.   

Pour connaitre votre capacité d’endettement, vous pouvez utiliser les simulateurs que proposent certains établissements financiers. 

Justifier votre bonne gestion de compte

Pour démontrer que vous être un bon gestionnaire, vous devez vous assurer une bonne situation financière. Cela veut dire que vous ne devez pas recourir au crédit la consommation, des découverts bancaires au cours des derniers mois, ni d’incident de paiement. Reportez votre projet d’achat si votre gestion financière actuelle n’est pas saine.  Il est plus intéressant de négocier le crédit quand la situation s’améliore car les banques exigent en général, trois derniers relevés de compte.

Avoir une situation professionnelle stable

Les banques accordent facilement un prêt aux personnes ayant une situation professionnelle stable. Le but est de les attirer pour qu’elles puissent y domicilier leurs revenus, leurs épargnes, voire souscrire d’autres produits financiers. Justifiez donc votre situation professionnelle avec votre contrat de travail ou les états financiers de votre entreprise si vous être chef d’entreprise.

Profiter de la concurrence

Puisqu’il existe plusieurs établissements bancaires, pourquoi ne pas jouer sur la concurrence pour trouver un bon taux. Consultez donc plusieurs banques et comparez-les. En s’appuyant sur les offres écrites de chacune d’entre elles, vous renforcez votre position dans la négociation.

Si vous n’êtes pas confiance en votre talent de négociateur, vous pouvez faire appel aux courtiers en crédit immobilier. Ce service est théoriquement gratuit car les banques rétrocèdent une partie de commission aux courtiers lorsque la demande de prêt est conclue.

Négocier les frais de dossier et les indemnités de remboursement anticipé

Pour chaque dossier de prêt, les banques appliquent des frais de dossier représentant un pourcentage du montant emprunté. Ces frais peuvent être négociés. N’hésitez donc pas de demander une remise.

Néanmoins, les banques peuvent accepter de baisser les frais en échange d’un taux d’intérêt élevé. Le plus important est de calculer le coût total sur la durée d’emprunt et de choisir la meilleure proposition.

Vous pouvez également demander l’annulation des frais de remboursement anticipé. Ces frais correspondent à 3% du capital restant dû dans la limite de 6 mois d’intérêt.

Bien choisir la garantie de prêt

Concernant la garantie de prêt vous avez deux possibilités : hypothèque ou caution.

Pour une hypothèque, le coût d’enregistrement par le notaire représente entre 3% et 4% du montant du crédit pour un bien neuf et 7% pour un bien ancien. Les frais de cautions varient entre 2% et 3% du montant du crédit. Cette dernière option est donc plus intéressante. D’autant plus, en cas de défaut de remboursement, la société de caution se chargera de rembourser la banque et également vendre votre bien immobilier.

Négocier le taux de l’assurance emprunteur

Sachez que vous avez la possibilité de négocier également le taux d’assurance de prêt. Les frais d’assurance représentent en général, 30% du coût global. N’hésitez pas de prendre une assurance externe à la banque si le taux proposé par votre banquier ne vous convient pas. Cela peut parfois vous coûter moins cher. De plus, une assurance externe peut vous assurer d’autre risques que les assurances groupes ne font pas. Il est donc important de demander des devis et regarder en détail les propositions.

 

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Être dans une situation financièrement difficile peut arriver à n’importe qui et à n’importe quel moment de la vie. Les raisons sont nombreuses surtout dans une période d’incertitude comme le cas actuel. Plusieurs propriétaires en situation précaire voient leur bien saisies parce qu’ils se retrouvent dans l’incapacité de rembourser leur crédit. Mais ces personnes peuvent éviter ce problème avec le dispositif appelé « portage immobilier ». Vous n’avez peut-être jamais entendu parler de ce dispositif. Mais sachez qu’il existe réellement. En plus de faire « une bonne action » en sortant un propriétaire en difficulté de l’impasse, les investisseurs font également une bonne affaire.

Qu’est-ce que le portage immobilier ? Comment ça fonctionne ?

Quel est le principe du portage immobilier ?

C’est une pratique qui permet de vendre temporairement un bien immobilier tout en accordant au propriétaire le droit d’y vivre en tant que locataire pendant un certain temps, la possibilité de le racheter plus tard s’il en a les moyens.

Le portage immobilier s’adresse aux particuliers endettés. Lorsqu’un propriétaire se retrouve dans une impasse financière et ne peut plus rembourser son crédit, il peut recourir à cette solution pour éviter la saisie de son bien immobilier. En vendant son logement via le système de portage immobilier, il peut débloquer une certaine somme, en attendant le retour à meilleure fortune. Il se réserve également le droit de le récupérer, en contrepartie de la restitution du capital encaissé lors de la cession. Il s’agit d’une opération de vente avec faculté de rachat, encadrée par le code civil, article 1659.  

Comment fonctionne le portage immobilier ?

En pratique, lorsqu’un contrat de portage est signé, le transfert de la propriété est assorti d’une option de rachat du bien à un prix convenu d’avance.

Le logement à vendre sera évalué au prix du marché avec une décote de 20% à 30%. Le bien est ensuite loué meublé au propriétaire initial sous le statut d’un investissement locatif meublé non professionnel (LMNP). Le loyer est déterminé en fonction de la valeur du bien et avec le tarif du marché.

Plusieurs personnes peuvent se porter acquéreurs du même bien. La quote-part du loyer de chaque investisseur sera calculée au prorata au montant de l’investissement de chacun.

Le propriétaire initial a la possibilité de racheter son logement pendant la durée du contrat, généralement 5ans. Ce contrat est renouvelable une fois. Si cette option est exercée, il peut acquérir son logement au prix où il l’a vendu, quelle que soit la fluctuation du marché immobilier. Les différents frais liés à cette opération, tels que les frais de notaire et commission de la société de portage seront donc à ses charges.

A la fin du contrat, si le propriétaire-locataire ne peut pas racheter son bien, le transfert de propriétaire sera fait à ce moment-là.

Quels sont les avantages du portage immobilier ?

Cette opération présente plusieurs avantages.

Pour le propriétaire locataire

Il peut débloquer jusqu’à 80% de la valeur de son bien immobilier pour subvenir à ces besoins immédiats. Il se conserve la possibilité de l’acquérir plus tard ou prix où il l’a vendu tout en ayant le droit de l’occuper.

Cette opération est accessible pour tout le monde sans condition d’âge, ni de revenus. C’est une solution alternative aux prêts bancaires comme le prêt relais ou prêt immobilier. Le propriétaire vendeur n’aura donc pas d’intérêt ni de mensualité à payer chaque mois.

Au terme du contrat, le propriétaire locataire peut vendre son bien sur le marché aux prix du marché, mais il a obligation de rembourser le prix de cession initiale à l’acquéreur initial plus tous les frais liés. Il peut dans ce cas garder la différence.

Pour l’investisseur

L’opération s’avère très intéressante dans la mesure où il acquiert le bien avec un prix décoté de 20% à 30 % du prix du marché. De plus, il perçoit des loyers mensuels lui permettant de dégager un rendement sécurisé dans l’immobilier. C’est un investissement à très faible risque, puisque dans tous les cas, il récupère soit sa mise soit le bien à la fin du contrat. Le statut LMNP dont il bénéficie lui est également très avantageux au niveau fiscal. Un abattement de 50% sera appliqué aux loyers perçus avant l’impôt sur les revenus, si les recettes annuelles ne dépassent pas 70 000€.

De plus, l’investisseur a la possibilité d’acheter la totalité ou simplement une quote-part du bien à partir de 10 000€, selon ses moyens. L’investissement est très rentable à court ou moyen terme puisque le rendement moyen est autour de 6,5%, bien supérieur donc à celui du marché classique. Le fonds investi sera bloqué pendant une très brève période, maximum 5ans si le contrat n’est pas renouvelé. Il peut également être débloqué si le propriétaire locataire décide de racheter son bien avant terme.

Toutes les charges liées aux usage et entretiens sont supportées par le locataire à l’exception des gros travaux. Mais elles seront remboursées lors de levée d’option d’achat. Le risque de dégradation est faible car le propriétaire-locataire ont intérêt de bien entretenir son logement s’il veut le récupérer plus tard.

Un exemple de portage immobilier: simulation avec un crédit immobilier

Voici un exemple d’un cas concret d’un achet de bien d’une valeur de 300 000€.

Valeur estimée du bien300,000selon prix du marché
Montant du portage avec frais inclus224,700inclus les frais du notaires et autres
montant du loyer 1,100
durée maximal de portage10durée maximale
  
Financement avec effet de levier bancaire  
apport personnel 20%44,940
crédit bancaire179,760
taux du crédit 1.6%
assurance0.36%
durée d’emprunt20 ans
Mensualité1,000
frais de dossier 1,000
  
Situation du crédit à 10 ans  
remboursement versé120,000
dont intérêt et assurance versés28,762
capital restant du88,522
  
Situation financière au terme du portage 
loyers perçus pendant 10 ans132,000
crédit remboursé-120,000
frais de dossier-1,000
Gain net sur loyers (1)11000 
  
Revente du bien au propriétaire initial224,700
crédit restant du-88,522
apport personnel récupérée-44,940
gain net sur capital investi (2)91238 
gain sur opération (1)+(2)102238sur 10ans

Pourquoi investir dans l’immobilier à Lyon ?

Lyon est la troisième ville française en termes de population. Elle accueille plus de 513 000 personnes et ils sont plusieurs milliers à poser leurs valises chaque année dans la ville. Lyon est dynamique et s’impose sans mal comme une ville idéale pour l’investissement dans la pierre, sans doute l’un des plus plébiscités par les français. Investir dans un logement est en effet intéressant, peu importe les raisons à l’origine de ce placement. Cela peut être voulu par une personne qui souhaite simplement être propriétaire de son propre bien, ou par une personne qui souhaite louer le logement acheté. Investir peut en outre être très intéressant d’un point de vue fiscal. Et vous pouvez en savoir plus sur les détails de la loi Pinel à Lyon en suivant cette adresse. Vous pourrez découvrir notamment comment payer moins d’impôts, et les démarches à suivre pour que l’investissement soit encore plus intéressant pour vous. L’important lors d’un achat aussi important que celui-ci est d’être bien accompagné par des professionnels du secteur qui connaissent les erreurs et pièges à éviter, et qui vous permettront d’acheter en toute sérénité votre bien. De quoi rendre l’achat simple et efficace.

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Un des moyens pour soutenir ou financer son projet est le crowdfunding. Dans le contexte chaotique actuel de crise économique auquel sont confrontées les petites et moyennes entreprises, l’idée de faire appel a ce mouvement de financement participatif pour relancer son activité reste toujours très favorable. Le financement participatif est une source de financement alternatif qui fait profiter aux entreprises comme aux financeurs. Mais ce modèle a ses limites.

Voyons comment ce que le crowdfunding peut nous apporter, aux les entreprises et aux investisseurs ? Quelles sont ses limites ?

Quel est le business model du crowdfunding ?

Le mécanisme du crowdfunding repose sur deux principes simples et prétentieux : faire porter le financement de projet au public. L’idée est d’une part, trouver un financement alternatif autre que le crédit classique pour les porteurs de projet et d’une autre part, faire fructifier les économies des épargnants qui cherchent des placements à rendement attrayant.

Ce mouvement est de plus en plus populaire auprès du public. L’essor de l’internet et des réseaux sociaux participent activement à sa croissance. Le marché est désormais arrivé à un niveau de maturité. Il possède plusieurs atouts qui explique son succès auprès des différents acteurs.

Du côté des porteurs de projet

Un complément de crédit classique

Il est indéniable que le crédit classique auprès des établissements bancaires garde toujours sa première place dans le secteur de la finance. La plupart des entreprises privilégie toujours de mode de financement traditionnelle. Mais ces dernières années, le crowdfunding a su faire sa place en sur le marché de crédit. Les entreprises, en plus de crédit classique, font appel à ce mouvement pour compléter ses besoins de financement.  

Des conditions d’accès souple

Les conditions d’accès au crédit est relativement souple, contrairement aux crédits classiques.

Certaines entreprises se voient refuser de crédit par leurs banques parce qu’elles sont trop petites, jeunes ou simplement parce qu’elles n’ont pas assez d’apport pour convaincre un banquier. Certaines d’autres demandes de crédit sont automatiquement rejetées par les banques parce qu’elles sont jugées non solides.

Le recours au financement participatif est finalement beaucoup plus facile. Le délai d’obtention de fonds est aussi plus rapide d’une demande traditionnelle. Via le crowdfunding, le financement peut être obtenu 2 semaines après avoir déposé le dossier alors que le délai de traitement de dossier chez un banquier dépasse facilement un mois, sans être sûr d’obtenir le fonds demandé.

Du côté des épargnants

Les épargnants retrouvent la possibilité d’investir dans divers projets qui correspondent à leurs exigences. Cette possibilité correspond exactement aux aspirations des français qui désirent jouer un rôle et veulent avoir un impact positif sur l’écosystème d’entreprises français. On retrouve sur les plateformes des projets sélectifs de différents secteurs : innovation, environnement, social… Certaines plateformes se sont même spécialisées en ne sélectionnant que des projets qui répondent exactement aux envies des membres.

Le niveau élevé de rendement est une des raisons qui attire les financeurs de projets. Les taux d’intérêts peuvent atteindre un niveau très haut, jusqu’à 10%. Les épargnants sont de plus en plus séduits par cette activité financière.

Les limites de crowdfunding

Malgré les atouts du système, le crowdfunding a quand même ses limites.

Face à une concurrence de taille de la part des établissements bancaires, le crowdfunding représente une petite partie de la collecte. En effet, la somme récoltée via ce mouvement était de 642 millions d’euros en 2019, alors que le livret A et l’assurance de vie ont collecté eux, presque 39 milliards euros.

Le chiffre nous montre clairement que le crowdfunding rencontre moins de succès par rapport aux épargnes classiques. Pourquoi ? Cette attractivité peu séduisante est due à plusieurs facteurs.

Tout d’abord, parce que les autres épargnes classiques comme le livret A ou l’assurance de vie sont des produits qui existent sur le marché depuis longtemps. Qui ne connait pas ces produits ? Les banques les proposent systématiquement à leurs clients lorsqu’ils cherchent des moyens pour placer leur argent. C’est devenu une habitude d’ouvrir un compte livret A. D’ailleurs, il faut reconnaitre que presque tous les français, sans exception possède chacun ce livret.

Ensuite, on peut parler également de la confiance que les épargnants accordent à ces produits de placement proposés par les banques. C’est sécurisant et la liquidité est disponible tout de suite. Les épargnants sont méfiants de crowdfunding parce que le concept est simplement nouveau. Il faut donc beaucoup du temps pour gagner la confiance du public qui est de plus en plus inquiet surtout dans une période d’incertitude actuelle.

Ce manque d’invisibilité est une raison de plus qui freine la progression du crowdfunding. L’obligation d’adhérer aux projets soumis à la collecte est aussi une autre raison.

Du côté des entreprises ou des emprunteurs, la demande de crédit auprès des établissements financiers restent toujours populaire. Même si la plupart du temps, les crédits sont difficilement attribués à cause de la solidité du dossier, ces emprunteurs préfèrent toujours recourir à ce moyen de financement grâce au taux d’intérêt actuellement très bas.

Quel serait l’avenir du crowdfunding ?

L’avenir de crowdfunding dépend de la confiance des acteurs financiers. Pour gagner cette confiance, il faut du temps et surtout continuer à rassurer les acteurs. Il conviendra aux plateformes de

  • Garder un taux de défaut maîtrisé,
  • Continuer à proposer des projets attractifs à forte valeur
  • Garder la rapidité de déblocage de fonds
  • Garder la rapidité de processus traitement de dossier
  • Proposer une visibilité plus claire
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Investir dans une PME et bénéficier d’une réduction d’impôt jusqu’à 30% c’est ce que proposent les députés LREM. Si c’est vraiment le cas, n’est-il pas une bonne affaire pour tous investisseurs désirant placer leurs argents dans les PME ?

Le taux de 25% déjà rentrée en vigueur

En attendant le taux à 30%, profitons maintenant du taux à 25%.

Ça fait déjà 2 ans que le gouvernement promettait de faire passer le taux de 18 à 25%. Voilà enfin. Cette augmentation de taux de la réduction d’impôt sur les revenus en échange d’un investissement dans les PME est finalement rentrée en vigueur le 9 Août 2020.  

Qui peut bénéficier du taux 25% ?

Ce dispositif est réservé aux investissements réalisés après le 9 Août 2020, c’est-à-dire après la date de publication du décret, et avant le 31 décembre 2020. Les investissements avant cette date restent toujours bénéficiaires du dispositif mais à taux 18%.

Pour rappel, le plafond annuel d’investissement qui ouvre droit à cette réduction d’impôt est limité à

  • 12000€ pour une personne seule, ou 24 000€ pour un couple dans le cas d’une participation via un fonds
  • 50 000€ pour une personne seule ou 100 000 pour un couple marié ou pacsé, pour un investissement direct dans le capital.

La réduction d’impôt maximal sera donc 6000€ pour le 1er cas et 25 000€ pour le 2ème cas. Sachant que la niche fiscale annuelle est limitée à 10 000€ par ans, le montant excédentaire sera reportable pendant 4 années suivantes.

Quelles sont les conditions pour bénéficier du dispositif ?

Pour bénéficier de ce dispositif de défiscalisation, il faudrait

  • Investir directement dans le capital d’une PME éligible
  • Ou via le FCPI (fonds communs de placement dans l’innovation) ou le FIP (le fonds d’investissement de proximité)
  • Conserver les parts acquises dans le PME pendant au moins 5 ans
  • Et les versements doivent être en numéraire.

En ce qui concerne l’éligibilité au dispositif, la PME doits remplir certaines conditions :

  • Avoir le siège social en France ou dans l’Etat de l’Espace économique européen.
  • Avoir été créée depuis au moins 7ans
  • Ne pas être en difficulté
  • Ne pas être côtée en bourse
  • Employer au moins 2 salariés

A noter qu’investir dans une PME, âgée moins de 7 ans, ouvre également droit au crédit d’impôt à condition qu’il s’agisse d’un investissement sur un nouveau marché et d’un montant supérieur à 50% du chiffre d’affaire annuel moyen des 5 dernières années.  

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Au moment ou le monde est confiné par souci de contamination Covid-19, Nintendo a pris une bonne décision de lancer son jeu de l’année : le new horizons.

Il s’agit d’un jeu d’aventure, le 5ème opus de la série Animal Crossing, sans compter les autres jeux dérivés. Le joueur crée un personnage sur une île choisie de manière aléatoire par les 4 modèles proposés. Le joueur est amené à aider son personnage à créer, développer de A à Z son île déserte avec un seul outil moderne, le nookphone. Le système du jeu repose sur l’aspect relationnel de la vie en compagnie des animaux et l’esprit artisanat.

  • système d’artisanat : collectez des matériaux pour tout construire
  • Jardiner, pêcher, décorer
  • Jusqu’à huit joueurs peuvent vivre sur une île
  • quatre résidents d’une même île peuvent jouer ensemble simultanément sur une seule console Nintendo switch.
  • Huit joueurs peuvent jouer ensemble sur l’île de l’un des joueurs grâce au multijoueur en ligne

Sorti le 20 mars au bon moment d’isolement, la compagnie a généré 14,3 millions d’exemplaires vendu sur 26 millions d’exemplaires, entre mars et septembre 2020. Il n’y a meilleur moment de lancer un tel jeu vidéo. Cette dernière édition a connu un grand succès auprès de son public mais reste encore loin derrière l’édition Mario Kart 8 Deluxe. Ce succès s’explique simplement par le période difficile ou les gens cherchent à s’occuper et à vivre le plus normalement possible. Le design très gai avec le paysage qui rappelle les vacances d’été ne fait que donner plus envie de jouer.

Avec ce nouveau jeu fraichement introduit sur le marché, la Nintendo switch pourra donc être la console la plus vendue dans le monde. Il peut être un cadeau idéal pour la fête de cette année. Sortie il y a plus de 3 ans, ce jeu reste plus que jamais d’actualité. Les fans sont toujours aux rendez-vous et le fabricant ne cesse d’impressionner ses adeptes.  

On constate que depuis le premier confinement, la demande de console de jeu ne cesse d’augmenter au point de provoquer une pénurie et une rupture de stock auprès de nombreuses enseignes. Il reste néant moins disponible sur Cdiscount ou le géant du net Amazon. Sur ce dernier, on remarque plus de 5500 commentaires positifs sur le « new horizons » et plus de 5700 commentaires pour Mariokart 8 deluxe.

Voilà un cadeau qui peut faire plaisir à tout le monde et est à mettre sous le sapin.

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La fin d’année approche à grande pas. On est en Novembre 2020, la crise covid-19 continue et n’est pas prête de s’arrêter. Ça fait déjà presque un an qu’on vit dans une situation chaotique. S’engager dans un projet futur mérite une réflexion car cette crise sanitaire a quand même provoqué une incertitude. Faisons donc le bilan de cette année bien mouvementée pour se préparer à confronter à la nouvelle année 2021.

Taux de crédit immobilier 

Selon un bilan d’analyse de la BPCE, publié le 15 Juillet 2020, le covid-19 a très peu touché le secteur de crédit immobilier. Contrairement à l’année 2008-2009, les taux d’intérêt très bas proposés par les établissements bancaires depuis le début de l’année n’ont pas changé. Le taux se stabilise depuis 2019. On constate une très légère augmentation. Il se situe aux alentours de 1,16% en Mai 2020 alors qu’il était à 1,15% à la fin de l’année 2019. Cette stabilisation permet donc de soutenir la demande sur le marché immobilier.

Investissement immobilier toujours rentable

D’après le sondage, plus de 50% des opinions jugent que l’immobilier est plus intéressant que les placements financiers. L’investissement dans les pierres garde toujours son image fidèle, comme un placement stable, sure et rentable. Les investisseurs ont toujours confiance dans ce secteur qui ne cesse de progresser. Même si l’idée d’investir à court terme est mauvaise mais les événements de cette année particulière n’ont pas changé la vision du long terme de l’investissement. Cependant certaines personnes prennent plus de précaution en reportant leurs projets d’achat par craint de la solvabilité future.

Prix de l’immobilier reste stable

Quand on interroge s’il est opportun d’acheter le logement en cette période, les avis sont partagés. La majorité de personnes interrogés pensent que le prix de l’immobilier peut augmenter très modérément voir se stabiliser. Certains prévoient même une baisse significative de prix.

Le marché de la nouvelle construction en ralentie

Le confinement a bien bouleversé cette filière. Beaucoup de constructions ont vu leurs chantiers mis à l’arrêt ou suspendus pour différentes causes :  la difficulté de trouver les mains d’œuvres qualifiée, la hausse de coût, le durcissement de norme et règles de construction, le prolongement de durée administrative de traitement de dossier ou encore les élections municipales. Le démarrage a été lent après le premier confinement. En conséquence, le nombre de construction a baissé par rapport à l’année 2019. La filière de la construction de maison individuelle semble le plus souffert à cause les clients potentiels plus sensibles à la crise et une politique du logement peu favorable.

Les transactions dans l’ancien

La demande reste importante. Cependant, le nombre de transactions baisse à cause de l’impact de confinement. 120 000 transactions sont perdues entre Mars et Avril 2020. Les effets de Covid-19 prolongent. Les incertitudes sur l’économie restent toujours là. Les gens se posent la question sur l’évolution de prix de biens immobiliers. Les conditions d’accès au crédit se durcissent malgré le niveau très bas de taux d’intérêt.  Les potentiels acheteurs préfèrent attendre et avoir les réponses à toutes ces questions avant de se lancer dans le projet qui dure plusieurs années.

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A l’approche de la fin d’année, toutes les entreprises, les indépendants se voient recevoir et payer sa CFE. Une mauvaise nouvelle de plus surtout pendant la période si difficile. Toutes les structures sont concernées sans exception quelques soient leur statut juridique, la nature de leur activité, leur régime d’imposition ou leur nationalité.

Contrairement à la taxe professionnelle, son prédécesseur, cette cotisation est basée sur les biens soumis à la taxe foncière. Elle est calculée sur la base de sa valeur locative. La montant de cotisation varie selon ces critères ainsi que le chiffre d’affaire réalisé. Le minimum de base est de 221€ et peut aller jusqu’à 6833€ pour ceux qui réalisent plus de 500 00€ de CA. Mais savez vous qu’il existe des exonérations partielles ou totales en fonctions des cas. Vous avez aussi la possibilité de demander le dégrèvement.

Dernier délai de paiement : 15 Décembre

Avant de vous exposer les différents cas d’exonération, je tiens à vous informer de la date de paiement de cette taxe locale.  La date limite pour un virement est bien le 15 Décembre. Dépasser cette date, la pénalité de retard de paiement peut être appelée. Dans ce cas, il est toujours possible de faire une demande de remise gracieuse de cette pénalité en adressant une lettre au SIE. Pour éviter un oubli et toute pénalité, il est préférable d’adhérer au prélèvement à l’échéance. Le montant sera prélevé dans ce cas le 27 Décembre. Aussi, vous pouvez simplement adhérer au prélèvement mensuel pour étaler les charges, sachant que les prélèvements sont faits sur 10 mois, de janvier à Octobre.

A noter que l’avis d’imposition de CFE n’est plus disponible en version papier depuis quelques années. Il n’est disponible qu’en format informatique sur impots.gouv.fr. Vous devez, dans ce cas, obligatoire créer un compte.

Demande de dégrèvement de CFE

Il y a pas mal de personnes surtout les indépendants qui sont surpris en voyant le montant de cette taxe augmenter. Sachant qu’il est possible de demander un dégrèvement. Pour une entreprise, si votre CFE dépasse 3% de votre VA, la demande de remboursement de la différence est possible à condition de ne pas être imposé sur la base minimum. Epluchez donc bien le calcul de votre impôt indiqué sur votre avis.

Regardons maintenant les cas d’exonérations.

Concrètement on peut résumer ces cas en 4 catégories différentes :

Exonération CFE pour entreprise nouvelle

Quelque soit votre statut, si vous venez de créer votre entreprise, vous n’êtes pas soumis à la cotisation CFE pour la première année de votre création. Vous avez l’obligation de remplir la déclaration initiale de cotisation foncière des entreprises, cerfa 1447-C-SD. Elle doit être adressée ensuite au SIE au plus tard le 31 décembre de l’année de création.

Il est possible que vous ne receviez pas l’imprimé. Si c’est le cas, il suffit de le télécharger sur le site impôt.gouv.fr

Exonération CFE selon les activités

Selon les activités, certaines entreprises peuvent bénéficier de cette exonération permanente ou partielle. Vous trouverez la liste des activités ci-dessous. La demande doit être faite lors de la réception de l’avis d’imposition de CFE au mois de novembre.

Exonération CFE selon les zones géographiques

Certaines zones géographiques où domicilie votre entreprise vous ouvrent droit à l’exonération de CFE. Une attestation justifiant votre installation dans ces zones spécifique doit vous être adressé. Si ce n’est pas le cas, pour savoir si vous êtes concernés ce critère, il suffit de vérifier votre zone géographique.  

Exonération CFE selon le critère de chiffre d’affaire

En tant qu’indépendant ou entrepreneur, vous bénéficiez d’exonération de CFE si votre chiffer d’affaire de N-2 est inférieur à 5000€. Cela veut dire que si le CA de l’année 2018 ne dépassait pas 5000€, vous n’aurez pas de CFE à payer en 2020.

La liste détaillée des exonérations

Il existe plusieurs cas d’exonération. Ces cas sont regroupés en 2 catégories :  exonération permanente et exonération temporaire.

Exonération permanente

Voici les cas d’exonération permanente listé sur le site service-public.fr :

  • Collectivités territoriales, les établissements publics et les organismes de l’État
  • Grands ports maritimes, les ports autonomes, ainsi que les ports gérés par des collectivités territoriales, des établissements publics ou des sociétés d’économie mixte (à l’exception des ports de plaisance)
  • Exploitants agricoles, certains groupements d’employeurs et certains GIE
  • Certaines coopératives agricoles et leurs unions
  • Artisans travaillant soit à façon pour les particuliers, soit pour leur compte avec des matières leur appartenant, qu’ils aient ou non une enseigne ou une boutique, lorsqu’ils utilisent uniquement le concours d’apprenti(s) âgé(s) de 20 ans maximum au début de l’apprentissage
  • Chauffeurs de taxis ou d’ambulances, propriétaires ou locataires d’1 ou 2 voitures, de 7 places maximum (sans compter la place du chauffeur), qu’ils conduisent ou gèrent eux-mêmes, à condition que les 2 voitures ne soient pas en service en même temps et qu’ils respectent les tarifs réglementaires
  • Coopératives et unions de sociétés coopératives d’artisans, de même que les sociétés coopératives et unions de sociétés coopératives de patrons bateliers, les sociétés coopératives maritimes
  • Certains pêcheurs, sociétés de pêche artisanale et inscrits maritimes
  • Sociétés coopératives et participatives (Scop)
  • Vendeurs à domicile indépendants (VDI), pour leur rémunération brute totale inférieure à 6 787 €
  • Établissements privés d’enseignement du premier et second degré sous contrat avec l’État et d’enseignement supérieur sous convention ou reconnus d’utilité publique
  • Professeurs de lettres, sciences et arts d’agrément et instituteurs primaires qui dispensent leur enseignement personnellement, soit à leur domicile ou au domicile de leurs élèves, soit dans un local dépourvu d’enseigne et ne comportant pas un aménagement spécial
  • Peintres, sculpteurs, graveurs et dessinateurs considérés comme artistes et ne vendant que le produit de leur art
  • Photographes auteurs, pour leur activité relative à la réalisation de prises de vues et à la cession de leurs œuvres d’art ou de droits d’auteur
  • Auteurs, compositeurs, chorégraphes, traducteurs percevant des droits d’auteur, et certaines catégories d’entrepreneurs de spectacles (spectacles vivants)
  • Artistes lyriques et dramatiques
  • Disquaires indépendants (avec pour activité principale la vente au détail de phonogrammes)
  • Établissements de vente de livres neufs au détail possédant le label de librairie indépendante de référence ou, pour ceux n’ayant pas le label, disposant d’un local librement accessible au public et une activité de vente de livres neufs au détail représentant au moins 50 % du chiffre d’affaires
  • Sages-femmes et garde-malades, (sauf s’ils relèvent de la profession d’infirmière)
  • Médecins et auxiliaires de santé ouvrant un cabinet secondaire dans un désert médical ou dans une commune de moins de 2000 habitants
  • Sportifs pour la seule pratique d’un sport
  • Certaines activités de presse, comme les diffuseurs de presse spécialistes, exonérés de plein droit
  • Organismes HLM et les propriétaires ou locataires louant ou sous-louant une partie de leur habitation personnelle de façon occasionnelle à un prix raisonnable (ou en meublé, à condition que le logement constitue la résidence principale du sous-locataire)
  • Exploitants de meublé de tourisme classé ou de chambre d’hôtes (sauf délibération contraire de la commune), à condition que ces locaux fassent partie de leur habitation personnelle (résidence principale ou secondaire en dehors des périodes de location) et ne constituent pas l’habitation principale ou secondaire du locataire
  • Entreprises pour leur activité de production de biogaz, d’électricité et de chaleur par la méthanisation
  • Activités à caractère social (sauf les mutuelles, leurs unions, et les institutions de prévoyance)
  • Caisses de crédit municipal

Exonération temporaire

  • Si vous êtes dans les cas suivants, vous pouvez bénéficier de l’exonération temporaire de CFE :
  • Avocats qui ont suivi le cursus de formation théorique et pratique d’une durée d’au moins 18 mois sanctionné par le certificat d’aptitude à la profession d’avocat (CAPA) et exercent leur activité de manière indépendante, soit à titre individuel soit en groupe
  • Entreprises nouvelles
  • Entreprises implantées dans les zones d’aide à finalité régionale
  • Entreprises implantées dans les zones d’aide à l’investissement des petites et moyennes entreprises
  • Entreprises implantées dans les zones de revitalisation rurale
  • Zones urbaines sensibles (ZUS) ou les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV)
  • Zones franches urbaines de première génération
  • Zones franches urbaines de seconde génération
  • Zones franches urbaines-territoires entrepreneurs de troisième génération
  • Médecins, les auxiliaires médicaux et les vétérinaires
  • Jeunes entreprises innovantes et les jeunes entreprises universitaires (JEIU)
  • Entreprises situées en Corse
  • Entreprises implantées dans les bassins d’emploi à redynamiser (BER)
  • Entreprises situées dans les zones de restructuration de la défense (ZRD)
  • Entreprises implantées dans les zones franches d’activités (ZFA) en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion ou à Mayotte
  • Entreprises créées dans les bassins urbains à dynamiser (BUD) entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2020 et qui sont exonérées d’impôt sur le revenu ou d’impôt sur les sociétés
  • Entreprises créées dans les communes voisines aux BUD entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2020 et qui sont exonérées d’impôt sur le revenu ou d’impôt sur les sociétés
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Vous chercher un plan d’épargne pour mettre de l’argent à côté. Vous avez surement entendu parler de PER (plan d’épargne retraite). Est-ce le bon choix ? Ce PER semble avoir déjà trouvé son public peu de temps après son lancement. Quels sont les pièges de ce plan ? Quels sont ses avantages ? Avez-vous toutes les connaissances sur le produit ?

Voici quelques points à savoir sur le plan d’épargne retraite individuel.

Fiscalité

Vous connaissez bien le PERP et la cotisation Madelin. Ils sont tous les deux déductibles fiscalement de l’impôt sur les revenus. Cette fiscalité n’est plus une règle mais une option pour le PER individuel. Cela veut dire que vous pouvez renoncer à cette déduction immédiate de l’impôt sur les revenus pour bénéficier d’une autre fiscalité à la sortie. Cette option attire beaucoup d’épargnants qui ne sont pas soumis à l’impôt ou ont très peu à payer. Mais est-ce intéressant de renoncer à la déductibilité pour ceux qui ont pas mal à payer chaque année ? Ne vaut-il pas mieux de miser sur d’autres produits plus intéressants en termes de fiscalité pour préparer sa retraite ?

Frais

Selon Le Monde, les frais sur les PER individuels varient beaucoup d’un produit à l’autre. Pourquoi une telle variation ? Ce plan est souvent vendu comme un produit défiscalisant, un peu comme la loi Pinel ou ses prédécesseurs PERP ou Madelin. Son côté d’économie d’impôt attire les épargnants qui eux oublient souvent les frais de gestion du produit. De 0% à 5% sur les versements ; de 0,50% à 2% en frais de gestion sur les fonds euros ; de 0,30% à 1,50% sur les unités de compte… le cumul final des frais peut vous sortir un montant exorbitant.

Il faudrait donc être vigilant sur ce point. Le PER ne vous rapporte pas que du bénéfice. Un frais peut cacher un autre. Au-delà de ces frais de gestion, d’autres frais tels que les commissions de performance ou d’arbitrage peuvent être également facturés. Tout dépend de chaque gestionnaire. Il est important d’insister sur le détail des coûts car le système n’est pas assez transparent. Le courtier qui veut faire du chiffre, ne mention que le côté bénéfique du produit et ne détaille pas assez ses points négatifs. C’est pourquoi il est préférable de se faire accompagner par un gestionnaire de patrimoine compétent. L’appréciation de coût par rapport au bénéfice rapporté doit être prise en compte avant d’ouvrir un compte PER. Le rendement est parfois étonnamment faible.

Fonds bloqué

Le déblocage de fonds est un des points négatifs du produit. L’argent placé ne peut être récupéré qu’au départ à la retraite. Toutefois, l’épargne peut être débloqué dans certains cas particuliers tels que l décès, l’invalidité, cessation d’activité, acquisition de résidence principale….  Ce n’est rien nouveau par rapport aux produits qu’on a déjà connu, le PERP ou PERCO…

C’est assez contraignant, n’est-ce pas ? La durée du blocage peut être très longue, 15 ans voire plus. Pourquoi alors laissez les autres gérer votre argent pendant que vous pouvez l’utiliser pour d’autres investissements. Un Compte à Terme de 3, 6 ou 9 mois parait donc plus intéressant qu’un PER, en termes de rendement. Le PEA et l’investissement immobilier sont toujours les meilleurs choix d’investissement, avec l’effet de levier des taux très bas.

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Se lancer dans un projet professionnel n’est jamais une aventure facile. On a peur d’échec, peur de ne pas pouvoir y arriver, peur de prendre des risques. Une des clés de la réussite professionnelle est certainement la motivation et la persévérance. Mais cette confiance est, dès fois, difficile à tenir quand on rencontre des échecs répétés. Le manque d’argent, le manque de préparation, de plan budgétaire ou même d’informations…. sont des freins à l’entrepreneuriat. Alors dans ce cas, pourquoi ne cherche-t-on pas des aides pour consolider le projet et dépasser ces freins ? Se faire épauler par des réseaux d’entrepreneur est une bonne chose pour avancer plus sereinement et se sentir moins seul dans le projet.

Voici les 5 réseaux à rejoindre.  

Bouge ta boite

Ce réseau business féminin est réservé aux dirigeantes déjà en activité. Le point fort de ce réseau est qu’il possède des membres de différents cercles thématiques et géographique. Sa présence dans toute la France facilite énormément les rencontres et les échanges de entrepreneures. La possibilité d’agrandir votre carnet d’adresse est énorme grâce à des réunions et des rencontres simples autour d’un café qui ont lieu chaque mois. Un vendredi sur deux, un groupe de 10 à 15 personnes maximum se réunissent autour d’un programme structuré et pragmatique pour faire un briefing, brainstorming sur leurs problématiques d’entrepreneures. Un atelier est également organisé une fois par mois pour accompagner les autres membres.

Impulsion

Impulsion 38 est une association née en 1993, à l’initiative des 3 ingénieurs grenoblois au chômage pour mettre en commun leurs compétences et leurs savoir-faire. Ce regroupement d’ingénieurs et de cadres de tous secteurs d’activité est une richesse incroyable qui permet des échanges constructifs, des partages d’expériences et une mutualisation des compétences. Autogérée par les membres actifs, cette association est un acteur majeur qui aide au retour à l’emploi.

  • Les membres sont accompagnés, conseillés par les parrains ou marraines en activité ou à la retraite
  • Elle possède 1300 anciens membres
  • Elle compte 4 commissions : intégration, communication, information et ateliers. Ces commissions ont pour but de proposer des plans d’action aux autres membres afin de concrétiser les projets.

Hello Willa

Ce réseau de dirigeantes possède 150 coachs, 12 programmes d’accompagnement. En 15 ans d’existence, il a accompagné 1050 femmes et 563 startups.

Ce réseau met accent sur l’entrepreneuriat féminin. Voici les actions de willa :

  • Accompagne les porteuses de projet de l’idée à la validation de leur modèle puis à la levée de fonds
  • Conçoit des programmes pour répondre aux besoins des dirigeantes
  • Donne aux membres l’accès à son réseau et sa communauté

3 programmes proposés pour différents cas différents

  • Le bootcamp pour passer de l’idée à l’action : c’est un programme de 3 semaines dont 3 jours de bootcamp gratuit
  • Le programme d’accélération pour aider à trouver le business modèle pour une durée de 6 mois
  • Le programme Scale pour aider à conquérir le marché pour 12 mois d’accompagnement.

Réseau Mampreneures

Ce réseau s’adresse principalement aux chefs d’entreprise, ou porteuses de projet, et mères de famille. Il est animé par des bénévoles. Les rencontres organisées une fois par semaine permettent de

  • Favoriser des échanges autour d’une problématique business
  • Sortir les femmes de leur isolement
  • Construire les réseaux et cercles d’influence
  • Développer la confiance et l’estime de soi
  • Découvrir des pratiques professionnelles adaptées 
  • Profiter d’un regard extérieur expérimenté et bienveillant
  • D’être soutenues humainement dans leurs réflexions, décisions et actions

L’autre point fort du réseau est le coaching individuel en partenariat avec EGEE que peuvent bénéficier les membres depuis 2016. Le nouveau concept qui n’existe nulle part ailleurs est le programme d’Echange avec le réseau des Mères en Affaire du Québec. C’est un concept intéressant pour un échange interculturel. L’idée est qu’une entrepreneuse française passe 7jours au Quebec et vit une vie d’entrepreneure de la maman Québécoise, et inversement.

Sista x Bold : pour du coaching gratuit

Le programme Sista x Bold est un allié de 2 acteurs principaux la maison Veuve Clicquot et Sista. Ce programme a pour but d’accompagner les entrepreneuses dans la reprise d’activité et préparer le futur. Les 100 mentors sont là pour proposer leurs expertises, des conseils et des échanges aux entreprises pour passer une situation difficile comme le cas du contexte Covid-19 actuel. Les jeunes entrepreneurs peuvent profiter de cette occasion pour se faire conseiller par des grands dirigeants renommés du business et de l’investissement tels que Nathalie Balla (CEO de la Redoute), Cécile Cabanis (Danone) ou de Laure Baume (Moët Hennessy). L’inscription est gratuite. Le propriétaire du dossier sélectionné bénéficiera des heures d’entretiens. 1000 heures sont réservées pour tous les bénéficiaires.

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Face au confinement de la crise Covid-19 survenu au printemps 2020, l’Etat a annoncé plusieurs aides financières pour soutenir les entreprises françaises. Plusieurs d’entre elles ont pu bénéficier de ces mesures pour combler leurs pertes de chiffre d’affaire. Maintenant que la deuxième vague continue à grande vitesse, après avoir essayé plusieurs mesures, le confinement parait une mesure nécessaire pour stopper la propagation du virus. Mais ce reconfinement fait souffrir tout le monde notamment les commerces locaux. Le gouvernement vient de déployer encore une fois des mesures pour soutenir les TPE-PME, les indépendants, les micro entreprises pendant cette période difficile.

Quels sont les objectifs de ces aides ?

2ème confinement juste après le couvre-feu, en 1 an !!! Décidément 2020 est trop longue et ne nous réserve que des mauvaises surprises surtout pour les commerçants. Mais cette restriction est nécessaire si on ne veut pas que la misère continue. Ce nouveau confinement est mis en place avec des nouvelles aides de l’Etat pour la fin de l’année 2020. L’équipe du gouvernement vient de détailler les mécanismes mis à dispositions des professionnels durement touchés dans ce contexte difficile à supporter. Si on regarde bien, il s’agit majoritairement des dispositifs déjà proposés lors du premier confinement.

L’objectif du gouvernement à travers ces dispositifs est :

  • Limiter les problèmes de trésorerie pour éviter la fermeture d’établissement
  • Limiter le chômage en proposant une possibilité de recourir au chômage partiel aux Entreprises avec un reste à reste limité à 15% pour l’employeur. Cette possibilité est valable jusqu’à la fin de l’année au minimum.

Le fonds de solidarité jusqu’à 10.000euros

Ce dispositif est réservé aux entreprises qui ont moins de 50 salariés. Elles peuvent faire la demande dès le 01 Novembre 2020. Le montant d’aide peut aller jusqu’à 10 000 euros maximum. Ce dispositif concerne 2 cas

  • Les entreprises qui ont obligation de fermer administrativement leurs établissements et ayant moins de 50 effectifs sont éligibles au fonds quel que soit leur secteur d’activité.
  • Ou les entreprises qui subissent une perte d’au moins 50% de chiffre d’affaire par rapport à la même période.

Le montant de fonds varie selon les cas. La demande est à faire sur le site de impôts.gouv.fr.   

Lors de la conférence de presse du jeudi 29 Octobre, le Ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire a annoncé une possibilité de demander ce fonds pour les entreprises qui sont situées dans les zones de couvre-feu du mois d’octobre. Elles peuvent remplir le formulaire de demande à partir du 20 novembre.  Les aides seront versées quelques jours après la demande.

Les exonérations des charges sociales

L’exonération des charges sociales a été déjà proposée lors du premier confinement qui a débuté le 16 mars 2020. La mesure est réutilisée. Mais cette fois ci, elle est étendue aux structures de moins de 50 salariés, alors qu’elle était réservée aux entreprises de moins de 10 effectifs.

Pour les indépendants ou les TPE/PME, le principe d’exonération reste le même. Les prélèvements de charges seront automatiquement suspendus mais pas supprimés. L’étalement des paiements jusqu’à 3 ans sera également possible. L’Urssaf se montre très compréhensive pour les établissements déjà en difficulté pendant cette période très difficile.

Baisse de loyers professionnels 

L’Etat intervient pour inciter les bailleurs à baisser les loyers. En échange, ils auront droit à un crédit d’impôt de 30% du montant consenti. Par contre quelques conditions exigent

  • Ce dispositif concerne les bailleurs d’une entreprise de moins de 250 salariés
  • La baisse de loyer doit être équivalent à au moins un mois de loyer sur la période d’octobre à décembre 2020

Les locataires gagnent dans ce cas 1 mois sur 3 de loyers. Les bailleurs, quant à eux, évitent le risque d’avoir les locaux vacants et bénéficient de crédit d’impôt qui viendra en déduction de leurs impôts sur les revenus. Ils recevront le remboursement s’ils n’ont pas d’impôt à payer ou non imposable.

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Depuis ce jeudi 29 octobre, Netflix a annoncé une augmentation de prix pour 2 forfaits les plus populaires aux Etats-Unis. Désormais, le forfait standard coûte 14 dollars au lieu de 13 dollars et le forfait premium coûte 18 dollars au lieu de 16 dollars. Il va également augmenter ses prix en France pour les offres permettant le visionnage simultané sur plusieurs écrans.

Pourquoi cette augmentation ?

La principale raison est d’augmenter les revenus du groupe car le résultat annoncé pour le 3ème trimestre 2020 est plus bas que prévu.

C’était évident qu’on s’attend aussi à une augmentation de prix d’abonnement de la part de Netflix en France. Pourquoi n’est-il pas possible de la faire en France après avoir déjà mis en place aux Etats Unis et au Royaume Unis ? La plateforme justifie cette augmentation de prix par la diversification de ses services et une grande variété de programmes télévisés et de films.

La pandémie de coronavirus a accéléré le commerce et les services en ligne. Selon Ted Sarandos, co-président de Netflix, cette crise sanitaire n’est pas une mauvaise chose pour tout le monde. Certains producteurs ont profité de la crise Covid-19 pour produire des séries. Le confinement a fait augmenter le nombre de visionnages. En conséquence, le nombre d’abonnés part à la hausse. Netflix croie et espère toujours attirer plus d’abonnés avec les nouveaux programmes proposés, malgré, une concurrence féroce dans le domaine.

Quelle est la stratégie de l’entreprise ?

Netflix est en pleine phase d’accélération de la production de ces contenus originaux, disponibles nulle part ailleurs. Il veut exploiter et profiter de sa capacité de sortir de plus en plus vite des films, série, émissions télévisées… pour occuper une grande part de marché. Cette capacité est une vraie valeur ajoutée qui la place loin devant ses concurrents tels que Amazon prime vidéo, Canalplay ou Hulu. Il doit maintenir cette capacité avant que les concurrents sur le marché deviennent féroces. D’ailleurs, les studios Hollywood prévoient retirer ces contenus qu’ils cèdent aujourd’hui sou licence à Netflix. Ce serait donc une perte énorme car ces contenus constituent une grande majorité de son catalogue et représentent 80% du temps passé par les abonnés dans le monde. Disney, quant à lui, a mis l’accent sur la diffusion en streaming lors de sa dernière réorganisation d’entreprise.

Netflix a prévu injecter des milliards de dollars pour augmenter sa capacité de production surtout des contenus originaux. Ces investissements sont des moyens cruciaux pour maintenir la croissance exponentielle de son portefeuille d’abonnés.

Quel serait l’impact de cette augmentation ?

Depuis l’annonce, le groupe a attiré beaucoup d’investisseurs. Ils ont salué cette augmentation de prix. Le cours de l’action de Netflix a grimpé de 4% ce jeudi du 29 Octobre. Mais cette augmentation peut-il être permanente ? On sait que la marge de manœuvre est limitée dans l’espace et dans le temps. Il ne peut pas continuellement demander à ses abonnés de payer toujours plus cher à moins qu’il ait le monopole du marché. Cette stratégie ne peut s’appliquer que dans les pays où il est leader du marché. Si non le risque de causer des dégâts est grande. C’est la raison pourquoi seuls ces 3 pays sont concernés.

Netflix devrait également surveiller son marché et ses plus gros concurrents : Disney, NBC Universal et WarnerMedia. Ils vont vouloir, eux aussi, récupérer leur part de gâteau. Lorsqu’ils se mettre à proposer sur leurs plateformes de streaming, les contenus exclusifs et populaires, le catalogue de Netflix va perdre sa réputation. Il va devoir se montrer attractif avec des nouveaux services et nouvelle stratégie. De plus, Disney a annoncé un prix d’abonnement de base inférieur à celui de Netflix. La guerre de prix est donc déjà lancée.

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Le covid-19 touche tout le monde. Les impacts sont flagrants : baisse d’activité, baisse de croissance, chômage, pauvreté, faillite des entreprises.

Pendant que les pays européens sont en train de subir les conséquences de cette pandémie en plein visage, la chine semble déjà oublier cette crise et échapper à cette nouvelle vague de contamination. Le plus spectaculaire est que son économie a rebondit au premier trimestre de presque 7% de PIB. C’est une situation particulière qui attire la curiosité et l’intérêt de tous les acteurs économiques. La chine est ainsi une prédilection de nombreux grands investisseurs.

Comment la chine a-t-elle pu se relever pendant la crise Covid-19 ?

Dans cette mondialisation où les nouvelles sont mauvaises, la reprise chinoise en pleine crise covid-19 est indéniablement la plus belle surprise, avec un décollement remarquable.

Regardons juste les chiffres clés de l’économie de ce pays dès le début de cette crise

  • Deuxième trimestre 2020 : +3,2%
  • Troisième trimestre 2020 : +4,9%

Voyons pourquoi la chine continue de progresser malgré tout

La gestion de la crise

Pour lutter contre la propagation, la Chine n’hésite pas à confiner tout le pays. Les mesures strictes ont été respectées à la lettre par les chinois. Il faut dire son modèle politique qui contrôle presque tous les petits gestes du quotidien de chaque personne donne un résultat très positif sur la gestion de la crise sanitaire. Ce qui n’est pas le cas des autres pays européens tels que la France, l’Italie ou l’Espagne. A la sortie du confinement, l’incertitude de l’épidémie s’est nettement réduite, ce qui incite les chinois à sortir sereinement et à consommer presque normalement comme si la crise ne s’est jamais passée.

L’industrie continue

L’un des raisons de la reprise est la relance de la production avant la consommation. Elle est en hausse de 1,2% sur neuf premiers mois de l’année. Avec le confinement et d’autres restrictions, la population apprend à vivre autrement. Les habitudes de consommation changent. Le commerce en ligne progresse. On ne parle pas seulement de la consommation locale, mais également de l’exportation des équipements et de produits médicaux, les équipements pour le télétravail qui se développe de jour en jour, dans le monde entier. Les achats en gros stagnent mais les ventes au détail ont connu une hausse considérable entre août et septembre 2020. 

La consommation comparable à avant la crise

A Hong Kong ou à Shanghai, plusieurs patrons chinois ont remarqué des consommations quasi normales comparables à la période d’avant la crise : Les restaurants bondés, les balades dans la rue, la consommation de cigarette… Les chinois savent gérer et vivre avec le virus et retrouvent la confiance de sortir.  

L’Etat chinois n’a donc pas de mesures de soutiens massives pour relancer son économie. Selon la FMI, le PIB chinois peut même bondir de 1,2% en 2020 et 8,2% en 2021. La Chine sera, dans ce cas, le seul pays à connaitre la croissance économique.

Les secteurs porteurs en bonne progression

Malgré la croissance timide de cet empire du milieu, plusieurs secteurs s’avèrent une bonne opportunité pour les investisseurs. Les gérants des grands groupes tels quel Carmignac ou Schroders partagent tous une vision très positive sur l’évolution de l’économie chinoise. Selon eux « L’écart de performance économique entre la chine et le reste du monde va se creuser dès début 2021 ». Ils misent sur les secteurs très porteurs selon eux : le commerce en ligne, la voiture électrique, data center ou encore la biotech. Le cas de la plateforme internet Alibaba, de Paypal et wish sont des exemples concrets. Le profit du groupe coté Alibaba est déjà en hausse de 18% sur un an. Cette tendance n’est pas prêt de s’arrête mais au contraire va durer encore plus longtemps.

Il faut noter que pendant la crise de pandémie, l’épargne chinois comme le reste du monde, est restée dormir à la banque. C’est possible qu’elle soit injectée dans la bourse faute de placements attractifs.

Il faudrait bien donc privilégier les entreprises les mieux placées et profiter de cette tendance de croissance à long terme. Voici le chiffre qui peut nous rassurer. La progression de la bourse chinoise est de l’ordre de 16% depuis le début de l’année selon l’indice CSI 300 qui regroupe les principales valeurs cotées à Shanghai et Shenzhen. Le MSCI China, composé d’entreprises chinoises cotées à la fois sur le marché continental, à Hong Kong et aux Etats-Unis (ADR), gagne 21% sur la période.

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Vous avez une idée à concrétiser ? Vous cherchez une solution budgétaire ? Vous ne savez pas quel serait le moyen adapté pour trouver un financement à votre projet ?

Sachez qu’en France, il existe plusieurs moyens. Beaucoup d’associations, les réseaux d’entrepreneurs, beaucoup de dispositifs sont proposés pour encourager la création d’emploi en passant par la création d’entreprise.

Voici les 5 moyens grâce auxquels plusieurs projets ont vu le jour.   

Crowdfunding

Nous connaissons bien le principe de crowdfunding ou le financement participatif. Le concept est né au début des années 2000 avec le développement d’internet. Comme son nom indique, c’est un financement alternatif qui fait appel aux ressources financières auprès des particuliers, des ménages. Via des plateformes de financement participatif, le fonds est récolté sous forme de don, prêt rémunéré ou de participations des entreprises.

Le crowdfunding s’adresse à tous les acteurs, entreprise, particuliers, association ou autres qui a un projet à réaliser. Ce type de financement est au tout départ adapté aux entreprises. Aujourd’hui, les particuliers peuvent également faire une demande.     

Pour sécuriser l’activité et favoriser son développement, les opérations sont réglementées par un cadre juridique dédié et amélioré au fils des années.

Vous trouvez le tableau récapitulatif du crowfunding (source : www.economie.gouv.fr)

différents types de crowdfunding

Vous pouvez trouver toutes les plateformes agrées par BPIfrance listées sur le site financeparticipative.org et francefintech.org

Pépite de France pour les étudiants

C’est un dispositif mis en place en 2014 par le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. Le but est d’encourager l’esprit d’entreprendre et promouvoir les projets de chacun.

Pour pouvoir bénéficiaire d’une aide de ce dispositif, l’étudiant doit avoir le Statut SNEE (Statut National Étudiant-Entrepreneur). Tous les étudiants à partir du bac et sans limite d’âge peuvent en faire une demande. Chaque projet sera donc étudié par un comité d’engagement en fonction de la motivation et des qualités du projet.  L’étudiant dont le projet est sélectionné, sera bénéficiaire de ce statut.

 Le SNEE permet aux bénéficiaires

  • D’être reconnus, accompagnés,
  • De rejoindre un réseau actif de plus de 8.000 Étudiants- Entrepreneurs,
  • D’accéder à des espaces de coworking et
  • De bénéficier d’aides financières

Il existe 33 pôles PEPITE en France. Vous avez le calendrier affiché sur le site pour la date de clôture de candidature de chaque pôle.

Voici la prochaines date d’appel de projets

APPEL À PROJETS

Les candidatures pour l’édition « Made in France » de wweeddoo sont ouvertes.
Cet événement est destiné aux jeunes âgés entre 13 et 30 ans, ayant un projet novateur, conçu, fabriqué ou distribué en France.

Date limite de candidature : 1er novembre 2020

GAIA

Voici un autre moyen pour vous faire accompagner et trouver un financement.

Il s’agit de GAIA. Les aides sont réservées aux établissements qui remplissent les conditions de l’agrément entreprise solidaire, aux entrepreneurs engagés dans les régions du département de l’Isère.

Vous la connaissez peut-être GAIA. Il est dirigé par une équipe permanente et des bénévoles qui ont des expériences réussies d’entreprendre. Elle a pour mission de

  • contribuer au développement de l’économie local
  • promouvoir l’entreprenariat et l’économie sociale et solidaire
  • assurer une dynamique collective du territoire
  • permettre à chaque porteur de projet d’accéder à un prêt bancaire dans de bonnes conditions

Pour bénéficier d’un accompagnement, chaque projet doit passer les 5 étapes de sélections :

  • Etape 1 : déterminer la pertinence d’une intervention financière
  • Etape 2 : Analyser et consolider le projet
  • Etape 3 : présenter le projet devant le comité d’engagement
  • Etape 4 : mettre en place des financements ou un contrat
  • Etape 5 : chaque projet est suivi chaque année pour faire le point sur son évolution

Le financement vise à donner des moyens pour renforcer la possibilité de réussir, pour résister aux différentes conjonctures et pour convaincre d’autres partenaires financiers. Il couvre en général le besoin d’investissement, de stock et de trésorerie. L’association donne des aides sous forme de

  • Prêt à taux bonifiés sans caution ni garantie
  • Des garanties bancaires pour limiter ou exclure les cautions personnelles
  • Un appui à la stratégie de financement et une médiation bancaire

Grâce à cette association, plusieurs projets locaux ont pu être soutenus. On compte en 2018, plus de 312 entreprises et associations, soit 9 millions d’euros investis.

Voilà une idée de limiter les risques dans votre projet d’entreprendre. Par contre, pour multiplier votre chance d’être sélectionné, soyez précis et claire dans votre plan. Préparez votre projet avec les descriptifs détaillé de votre activité, une étude du marché pour justifier que votre projet est viable, les hypothèses commerciales, un business plan avec un tableau de bord et tous les autres documents financiers prévisionnels.

Ulule

Ulule est une plateforme de financement participatif qui permet à de nombreux projets de se faire financer par leur communauté. En échange de participations, la personne responsable du projet offre une ou plusieurs contreparties à choisir. Le projet doit, dans ce cas, atteindre 100% d’objectif pour pouvoir récupérer le fonds et livrer ses contreparties.

Avant la publication, chaque projet est étudié selon les critères de la plateforme. Le but est d’assurer que le projet soit réalisable et viable ainsi que la crédibilité du porteur. Le projet sélectionné bénéficiera d’un accompagnement personnalisé pour maximiser sa chance de réussite. La durée d’examen du dossier est en général moins de 48 heures.

Ce type de financement est un des meilleurs moyens de financement pour ceux qui ont une idée précise et qui veulent la concrétiser. Il est accessible à tout le monde quel que soit l’âge, sa nationalité ou son pays d’origine. Par contre, quelques conditions s’imposent : avoir plus de 18 ans ou avoir un tuteur majeur et réside dans des pays donc la monnaie nationale est soit €, $, CHF ou £.

Pour demander un financement, le porteur de projet doit remplir le formulaire de soumission. La collecte de fonds doit se faire sur une durée déterminée. Le budget nécessaire pour le lancement de projet doit être également déterminé pour donner une vision claire aux financeurs et donner plus de chance au projet d’avoir un moyen suffisant pour garantir la réussite.

Pour soutenir un projet, il faudrait d’abord choisir un ou plusieurs projets parmi ceux présents dans la liste de Ulule. Il faut ensuite créer un compte pour pouvoir verser une somme souhaitée au projet. Si le budget du projet atteint le montant minimum demandé, la somme prélevée du compte de souscripteur sera versée aux apporteurs de projet, si non, elle sera remboursée intégralement aux souscripteurs.

Il faut garder en tête que le risque zéro n’existe pas. La possibilité d’échec peut être important selon le type de projet. Ce sont des projets innovants, créatifs qui peuvent répondre ou pas aux besoins du marché.  Il est donc important d’étudier au minimum le projet, sa présentation, son objectif et les moyens prévu pour le réaliser.

Crédit bancaire

Le prêt bancaire est un moyen classique. Selon votre plan, le budget est déterminé. Pour accéder à un prêt, votre banque vous demande des documents financiers qui justifient la santé de votre entreprise. En général, elle a besoin de ces documents sur 3 ans. Le but est de voir l’évolution de votre entreprise, juger votre capacité de remboursement ainsi que votre projet futur.

Pour un porteur de projet, il est vrai qu’il est difficile d’avoir un emprunt bancaire. Une garantie personnelle est souvent demandée lors d’un emprunt professionnel. Et la plupart du temps, c’est un refus automatique. Mais rien n’est perdu d’avance. Le projet bien monté et préparé a toujours plus de chance de trouver un financement. Vous avez la possibilité de se faire accompagner par les conseillers financiers privés qui eux connaissent bien le milieu. C’est le même principe que les courtiers des prêts lorsqu’on veut accéder à un prêt immobilier avec un taux bas. Ces spécialistes ont, en général, des expériences réussies dans le secteur financier et possède un bon carnet d’adresse qui facilite sa mission.

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