Auteur/autrice : temporama

Vous avez surement entendu parler de ce terme. De quoi il s’agit exactement ? Est-il efficace ?  Comment fonctionne-t-il ?

Le marketing de réseau est devenu une activité très prisée dans le monde entier et, à ce jour, des milliers de personnes ont gagné des millions grâce au marketing de réseau. Les histoires de réussite de ces millionnaires des États-Unis, du Royaume-Uni, d’Australie, d’Extrême-Orient, etc. sont publiées dans le cadre de l’étude de cas dans les universités et autres établissements d’enseignement ainsi que dans les instituts de formation à la vente directe.

voici les livres à lire absolument si vous souhaitez suivre leurs chemins

Qu’est-ce qu’un marketing de réseau ?

Le marketing de réseau est une nouvelle approche qui consiste à créer un réseau de vente. Le marketing de réseau est également appelé marketing à plusieurs niveaux (Multi Level Marketing), ‘marketing de recommandation’, ‘marketing viral’ etc. Comme son nom l’indique, cette forme de vente directe implique des personnes et la constitution d’un réseau de personnes en tant que distributeurs. Un vendeur vend les produits aux proches, amis ou famille qui eux peuvent à leurs tours parrainer d’autres membres ou vendeurs. Les ventes se font donc à la fois par l’utilisation personnelle et par les distributeurs qui ont été recrutés par l’individu.

Dans ce cas, le distributeur se concentre sur l’élargissement du réseau et le recrutement d’autres distributeurs plutôt que sur la vente des produits seuls. Ainsi, avec l’extension du réseau de distributeurs et les achats ultérieurs ainsi que le recrutement effectué par la chaîne, les distributeurs parrains obtiennent des rabais et des commissions de la société.

Parler des produits et Générer des revenus

La génération de revenus se produit lorsque le distributeur recrute d’autres distributeurs qui, à leur tour, continuent à recruter, étendant ainsi le réseau, et que chaque distributeur devient un client et achète donc les produits à la société. À chaque ajout de distributeur à la chaîne et à chaque vente supplémentaire, les distributeurs en amont gagnent des commissions, des remises et des points qui constituent un revenu.

Les produits et l’art de la communication

Dans cette configuration, la société se concentre sur la fourniture des produits aux distributeurs ainsi que sur la formation à la vente et la fourniture de kits de vente aux distributeurs qui sont les vendeurs et sur le traitement des paiements des clients/distributeurs et des commissions aux distributeurs. Les sociétés consacrent beaucoup d’efforts à la formation des distributeurs et à l’enseignement de l’art de la communication, à l’établissement et à la gestion des relations, ainsi qu’à la formation aux produits et à la vente. Les sociétés utilisent largement les médias audiovisuels, les livres et d’autres matériels nécessaires à la communication. Les réunions d’équipe, les conférences, les séminaires et l’adhésion à divers clubs de réalisateurs sont les principales activités qui contribuent à renforcer l’esprit et la participation des distributeurs individuels.

Gagner des revenus confortable sans contraints ni budget

Ce qui attire les gens vers MLM, c’est le rêve de gagner des millions comme revenu sans avoir à investir de grosses sommes d’argent mais en faisant des efforts et en consacrant du temps et sans avoir à sacrifier sa carrière ou d’autres priorités de la vie. MLM vend le concept d’un individu qui aspire et atteint ses objectifs grâce à la possibilité de générer des revenus supplémentaires en rejoignant le réseau et en y travaillant. Comme il n’y a pas de barrières à l’entrée, il attire des milliers de personnes qui se lancent dans cette activité et la poursuivent avec diligence. Les réussites sont largement diffusées et sont accessibles à tous, car voir c’est croire et c’est ce qui pousse les gens à rejoindre les réseaux MLM.

L’exemple concret des entreprises à succès

Beaucoup d’entreprises commencent à s’intéresser à ce type de marketing. Les marques qui font succès avec ce système sont nombreuses : américains ou français, asiatique ….

  • Charlotte
  • Captain tortue
  • Fortune
  • Scentsy
  • Xango
  • Avon
  • Amway
  • Charlott
  • … 

Nous connaissons bien Herbalife ou Tupperwave. Depuis toujours, Tupperwave ou d’autre marque de lingerie organise les séances de vente à domicile en petits groupes. Maintenant le concept s’exporte à grand échelle. Voici un nouveau cas, Atomy. C’est une entreprise coréenne qui propose des produits sélectifs de toute sorte : cosmétique, alimentation, complément alimentaire, produits d’entretien de linge ou de maison, petits équipements pour maison. L’entreprise a démarré son activité en 2009 par le fondateur Park Han Gil, qui est inspiré par le concept de marketing de réseau étude lors de son voyage d’affaire en Australie. Elle a beaucoup grossi en à peine 10 ans. Présent déjà dans 46 pays, principalement en Asie, elle est en train d’envahir le continent Europe et Amérique. Pour l’instant, elle possède des établissements en Russie et en Turquie et prévoir inaugurer ses établissements en France et en Angleterre d’ici 2021.

Comment ce marketing de réseau peut-il devenir un outil de succès pour les entreprises ?

Le succès de l’entreprise s’explique par la mise en place de ce concept en profitant du boom du commerce en ligne. Le succès du marketing du réseau repose sur la confiance et des personnes qui vont faire la promotion de produits. C’est la base principale pour que les personnes du groupe puissent convaincre leurs entourages et créer un effet boule de neige. L’entreprise utilise donc le bouche à oreille comme moyen de communication pour faire connaitre ses produits. Pour se faire il faut respecter les critères fondamentaux :

  • Des produits sélectifs de qualité qui doivent satisfaire l’exigence des consommateurs
  • Une politique de compensation, de bonus et de rémunération pour motiver chaque membre du groupe à parler de l’entreprise et passer au parrainage
  • Des séminaires fréquents pour informer les membres des nouveautés, des différents mesures proposées par l’entreprise
  • Un moyen et une capacité pour faire diffuser le message via différent outils tels que les réseaux sociaux
  • Ainsi que différentes activités associatives et caritatives.

Etude de cas de l’entreprise Atomy

Comme dit ci-dessus, l’entreprise Atomy pratique le marketing de réseau, « atomy multi level marketing » en anglais. Le fondateur précise et parle fièrement de ce terme dans sa présentation de l’entreprise. Son but est de gagner la confiance des consommateurs pour qu’ils puissent à leurs tours diffuser le message de l’entreprise.

C’est gagné puisque l’entreprise n’arrête pas de grossir. Les autres implantations sont déjà prévues pour gagner encore plus la part de marché dans ce monde déjà très concurrentiel. D’ailleurs, il y aura atomy france et atomy angleterre en 2021.

Elle a très bien compris le principe de ce type de marketing et met en place toutes les mesures pour faire fonctionner à la perfection le concept.

Choix de produits de qualité d’Atomy

  • Les produits d’excellente qualité sont sélectionnés. C’est ce qu’on constate sur son site. Voici les produits phares de la marque : HemoHIM, la gamme absolute cellactive skinecare et la gamme de soin the fame
  • Ce sont des produits très connu de grand publique du monde entier. On voit, par exemple dans ses gammes de produit, le poivre de Kâmpôt qui est mondialement connu pour ses qualités irréprochables.
  • Les produits sont nobles mais accessibles. Le but de l’entreprise est de donner la possibilité aux ménages d’utiliser les produits de qualité avec un prix juste.

Système de compensation d’Atomy

  • Acheter et bénéficier de commission reversée en fonction de volume d’achat
  • Bénéficier de commission grâce aux achats du réseaux dans le réseau de contact
  • Bonus reçu de l’entreprise selon le grade pour encourager chaque membre
  • Politique de retraite de chaque membre qui peut être transféré d’une génération à l’autre

Marketing et relations sociales

  • Basé sur la confiance de chaque membre pour faire connaitre les produits aux autres membres du réseaux
  • Les consommateurs qui veulent accéder aux produits doivent s’inscrire pour être membre.
  • Et pour être membre, il faut un parrainage. La stratégie gagnant gagnant qui fait profiter au parrain et au fils
  • Participer aux activités humanitaires, associatives et caritatives pour gagner en popularité et garder une bonne réputation de l’entreprise
  • Chaque vendeur peut réaliser les ventes comme il souhaite sans pression de chiffre à réaliser

Formations, Séminaires et conférences d’Atomy

  • Chaque semaine, l’entreprise propose une conférence ou séminaire virtuel ou réel pour informer des nouveautés
  • Être proche et Rester en contact avec les membres
  • Garder la motivation de chaque membre
  • Donner une formation sur les produits

Pour en savoir plus sur la rémunération générée dans l’activité de promotion avec Atomy, je vous invite à vous connecter sur le site Atomy France :atomyfrance.fr.

Comment débuter un marketing de réseau ?

Le marketing de réseau fonctionne avec votre carnet d’adresse, c’est-à-dire votre réseau de connaissance. Ce sont eux les acteurs principaux qui font fonctionner le système. Il faut donc créer une confiance mutuelle.

Première étape : exploiter le carnet d’adresse

Nous avons tous des amis et de la famille. Sans savoir et si on fait un inventaire de tous ces contacts, on en a plus ou moins. La première étape consiste à lister donc tous les contacts que vous avez dans votre cercle privé

  • La famille
  • Les amis du quotidien
  • Les amis de l’école, de la faculté ou de l’université
  • Les collègues, les clients….
  • Les connaissances lors des autres activités tels que le club de sport, associations…

Ils sont partout. Avec le développement des nouvelles technologies et internet, c’est très facile de les contacter même s’ils sont à l’autre bout du monde :

  • Facebook
  • Linkedin
  • Instagram
  • Tweeter
  • Viadeo
  • Whatsapp
  • Snapchat,
  • Skype
  • Youtube

Ce sont les endroits ou ils sont tous regroupés. Commencez par reprendre contact avec eux.

  • Une rencontre physique est toujours appréciable pour passer un bon moment ensemble, papoter et échanger des histoires du quotidien avec les amis. On apprend toujours beaucoup de choses lors de rassemblement comme celui-ci. On peut également transmettre des messages de manière très naturelle et ils seront également transmis aux amis de ces amis.
  • Si non, virtuellement, vous pouvez leur envoyer un message personnalisé pour prendre des nouvelles.

Un bon moment ensemble autour d’un repas ou d’un simple café est un moment d’échange à ne pas rater. On se rappelle toujours des moments agréables et surtout des conversations échangées. Parlez leur de votre expérience, de ce que vous faites ou simplement demandez conseils comment améliorer votre situation. Ces amis seront contents de vous donner des astuces ou même vous présenter quelques contacts de leurs réseaux. C’est un moyen d’agrandir votre carnet d’adresse.

Deuxième étape : exploiter les réseaux sociaux et le web marketing

Les réseaux sociaux sont des outils très puissants pour relayer les informations et pour toucher un large public. Vous gagnez confiance de vos followers en restant très actifs sur les réseaux sociaux. Publiez des contenus réguliers et intéressants pour rester proche de vos contacts et montrer que vous maitrisez votre sujet.

Le blog, un site internet ou des vidéos sur youtube sont les outils de communication pour capter encore plus d’audiences. Travailler sur le référencement pour qu’ils restent visibles, vivants et interactifs. C’est un lieu de rencontre incontournable et un endroit pour présenter votre entreprise.

Laissez la possibilité aux internautes de s’exprimer leurs idées, leurs points de vue via des commentaires. Cela rend votre site ou blog plus interactif.

Essayer de récolter au maximum les informations concernant les utilisateurs : adresse mail… Ce sont des ressources en or que l’on peut exploiter plus tard pour d’autres campagnes de marketing, des études sur les comportements des utilisateurs et pour cibler une audience potentielle.

Par contre, le message que vous souhaitez faire passer doit être sincère et basé sur votre expérience personnelle. C’est le principe de base de ce type de marketing.

Troisième étape : agrandir le carnet d’adresse

Le cercle privé est très limité. Puisque les contacts sont les éléments principaux du réseau, il est important d’élargir ce cercle. Cherchez donc des nouvelles connaissances pour faire passer le message au maximum. Pour les trouver, proposez des programmes de fidélité, de parrainage, de partenariat, de cooptation ou d’affiliation.

Les influenceurs sont les mieux placer pour faire passer efficacement le message.

Quatrième étape :  surveiller votre audience

Le network marketing touche une large audience. Les messages peuvent être relayés de façon exponentielle. Si le bon message est passé, vous gagnez en bonne réputation. Cette réputation fait décoller votre vente.

A l’inverse, si les avis négatifs sont passés, ce sera l’effondrement total du système. La confiance est rompue et les conséquences vont vite se faire ressentir.

Surveiller son audience permet donc de rectifier certaines erreurs et prendre des mesures nécessaires pour redresser rapidement la situation et éviter la catastrophe.

Read Full Article

Tout le monde sait que les temps sont durs pour de nombreuses entreprises. Pendant que la pandémie COVID-19 se poursuit, des secteurs tels que le tourisme, la restauration et les autres secteurs liés ont été particulièrement touchés. Les fermetures de frontières, les mesures de restrictions, la peur de contamination et le désir général des gens d’éviter les risques d’exposition inutiles ont impacté sévèrement l’économie du monde entier. Toutefois, COVID-19 ne cause pas que des dégâts. Avec un peu d’esprit positif, cette pandémie a quand même fait bénéficier à plusieurs secteurs. Les ventes explosent chez Amazon, par exemple. Les commerces en ligne se développement et sont sur le point de s’envoler. Le phénomène COVID accélère le passage aux paiements numériques.

Il s’avère que l’achat des actions Paypal pourrait être l’un des investissements le plus judicieuse et intelligent de la période Covid que vous n’avez jamais fait. Voici quelques raisons pour lesquelles qu’il faut investir dans les actions de Paypal.

Paypal profite du boom de service en ligne

La crise Covid crée des nouvelles activités. L’éloignement social a participé à la transition des activités des entreprises et des consommateurs vers l’univers en ligne, ce qui a entraîné un boom des valeurs technologiques. On peut voir la progression de passage aux paiements numériques et au commerce électronique parmi ces nouvelles tendances à l’accélération. Paypal est l’un des principaux bénéficiaires de ces changements. La société sert d’intermédiaire entre les consommateurs et les entreprises depuis sa création. Sa plateforme compte aujourd’hui plus de 346 millions de comptes actifs.

Une situation financière performante

Paypal a constamment augmenté son chiffre d’affaire et le résultat bénéficiaire net au fil des années. Il a presque doublé ses chiffres entre 2015 et 2019, tandis que son résultat net a plus que doublé, passant de 1,2 à 2,5 milliards de dollars pendant la même période.

Les données annualisées sur le chiffre d’affaire et le bénéfice net présentées par l’entreprise montre bien la progression de l’activité de l’entreprise. Les investisseurs peuvent aussi noter que les performances commerciales de la société se sont considérablement améliorées au cours du dernier trimestre 2020 en raison de l’accélération du commerce et des paiements numériques induite par la pandémie. Le résultat net du deuxième trimestre a représenté environ 95 % du résultat net du premier semestre, ce qui suggère qu’il y a de fortes chances que le résultat net de Paypal pour l’ensemble de l’année soit à la hausse.

Une plateforme très évolutive

Les mesures opérationnelles relatives à la plate-forme Paypal ont été tout aussi impressionnantes. Au dernier trimestre 2015, le nombre de nouveaux comptes actifs a atteint 21,3 millions de personnes avec 222 milliards de dollars d’opération alors qu’ils étaient 3,4 millions au deuxième trimestre et 69 milliards de dollars de paiement. Et comme de nombreux pays encouragent les gens à passer aux paiements en ligne pour éviter de manipuler des espèces, Paypal est en excellente position pour ajouter de nombreux nouveaux utilisateurs dans les années à venir.

Un marché en progression

Le marché de paiement de ligne est constamment en progression ces dernières années. Sa croissance ne va pas s’arrêter là. Ce marché de traitement de paiement pourrait atteindre 80 milliards de dollars au niveau mondial d’ici 2026.

Le marché de Paypal qui regroupe le commerce mobile, le transfert d’argent et les services numériques a déjà atteint 110 000 milliards de dollars d’opération en 2018. Même si sa part de marché ne représente qu’une petite partie du marché mondial, Paypal compte investir encore 300 millions de dollars d’ici la fin de l’année. Le but est de profiter de l’opportunité offerte par le context COVID actuel pour élargir sa part. Proposer des nouveaux services est d’être présent sur de multiple marché. C’est une stratégie gagnante-gagnante qui fait profiter aux consommateurs ainsi qu’à l’entreprise.  

Un exemple concret est l’association avec Mastercard et le programme de cash-back qui sont des nouveaux atouts pour les commerçants.  

Read Full Article

Les niches fiscales, ça existe. Il suffit de regarder en détail et éplucher chaque petit recoin de la fiscalité. Beaucoup de particuliers en profitent. Mais personne ne connait tous car il y en a tellement. Les grands dirigeants se font conseiller par les experts comptables, les gestionnaires de patrimoines et surtout par les fiscalistes car ce sont eux les spécialistes.

En général, on évite d’utiliser le terme « défiscalisation » ou « niches fiscales » car ils sont très mal vus perçus comme un moyen d’échapper au fisc. Mais ce sont des mesures proposées par l’Etat lui-même pour promouvoir certains secteurs qui sont en difficulté. Profiter des niches fiscales pour payer moins d’impôt est donc tout à fait possible pour toutes personnes ayant l’impôt à payer.   

Voici quelques niches souvent connues des grands publics.  

Les aides fiscales liés aux dons aux associations et aux partis politiques

Les dons aux associations reconnues « d’aides aux personnes en difficulté » ouvrent droit à une réduction d’impôt de 75% du montant versé et 66% pour les associations d’intérêt général dans la limite de 546€. Ce seuil a été rehaussé à 1000€ pour l’imposition des revenus 2020, à la suite de l’incendie survenue sur la cathédrale notre dame de Paris.

Les dons faites aux partis et groupements politiques ouvrent également droit à la réduction d’impôt. Le montant de dons est plafonné à 7 500€ par an par personne ou 15000€ par an par foyer fiscal. La déduction est de 66% des sommes versées dans la limite de 20% du revenu imposable.

Ces associations doivent par contre vous fournir un justificatif indiquant la nature de ses activités ainsi que la somme versée. Il est à conserver en cas de contrôle.

Les aides fiscales liées à la famille : garde d’enfant, emploi de personne à domicile…

Lorsque vous faites garder vos enfants à la crèche, au centre de loisirs ou par les assistantes maternelles agrées, ces frais de gardes ouvrent droit au crédit d’impôt de 50%, dans la limite de 2300€ par enfant ou 1150€ par enfant en cas de garde alternée. Cela s’applique pour les enfants de moins de 6 ans. Vous bénéficiez également de réduction d’impôt si vos enfants sont scolarisés au collège, lycée ou en enseignement supérieur.

Attention, il s’agit bien de crédit d’impôt, non pas de réduction d’impôt. Il ne faut pas confondre les 2 termes. Cela dit, que l’Etat vous rembourse 50% de la somme donnée si vous n’avez rien à payer dans l’année. Dans le cas contraire, le crédit sera déduit de votre impôt.

Vous avez également droit au crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile, que ce soit femme de ménage ou nounou à domicile. Le montant du crédit s’élève à 50% des dépenses dans la limite autorisée.

Pour les différentes pensions versées à l’époux(se), à l’enfant ou à un ascendant, vous pouvez les déduire de vos revenus. Le montant d’impôt sera calculé sur la base après déduction de ces frais.

Les aides fiscales liées au logement

Les dépenses pour la qualité énergétique de l’habitation principale tels que les travaux de remplacement de fenêtre, de chaudière, de chauffage ou autres donnent également droit au crédit d’impôt, soit 75% de la valeur payée par le propriétaire. Toutefois, le montant du crédit est plafonné et majoré selon chaque cas, 2400€ pour une personne seule et 4800€ pour un couple soumis à l’imposition commune.

Avec les aides de l’Etat, équiper son logement s’avère donc avantageux tels les cas de dépenses en faveur des personnes âgées, en situation d’handicap ou contre les risques technologiques. Les informations sont détaillées sur le site service-public.fr.

Les investissements locatifs

Si vous avez des épargnes qui dorment en banque et que vous souhaitez investir, les achats immobiliers est un des meilleurs choix. De plus certains dispositifs vous permettent de réduire vos impôts. La loi pinel, denormandie ou le dispositif louer abordable incite les investisseurs à acheter, rénover et louer. Pour en bénéficier, il faudrait quand même respecter certaines conditions telles que type de logement, localisation, durée de location etc.

Par exemple, pour les investissements pinel, il faut un achat de logement neuf ou en cours d’achèvement. Pour ceux denormandie, la réduction concerne le logement ancien qui nécessite des travaux d’amélioration ou un local transformé en habitation. Attention, elle concerne les opérations réalisées entre le 27 mars 2019 et le 31 décembre 2022.

Certains ménages n’hésitent pas d’investir en faisant des emprunts pour acheter des logements avec des travaux. Les dépenses de travaux, les intérêts d’emprunt, les frais de gestion sont déductibles du revenu foncier.

Les crédits d’impôts pour les entreprises

Il existe un panel de crédit d’impôt pour les entreprises :

  • Mécénat,
  • Formation de dirigeant,
  • De famille,
  • Apprentissage
  • Les aides pour les jeunes entreprises innovantes
  • Recherche

Chaque cas est à détailler et étudier. La demande se fait via des formulaires dédiés. Elle doit être envoyée au SIE au moment de dépôt des comptes.

Le PER individuel, PER collectif, PERCO

On ne parle plus de perp ni de contrat madelin. La nouveauté de cette année 2020 est bien le PER individuel. Depuis le 1er octobre, ce Plan d’Epargne de Retraite individuel ou collectif est déductible au même titre que le PERCO du revenu imposable dans la limite de 10% du salaire net annuel. Plus vous êtes dans la tranche haute, plus votre gain en impôt est important.

Par exemple : vous avez 40 000 € de revenu imposable et êtes dans la tranche de 11%. Vous versez 4000€ dans le PER. Votre base imposable sera donc de 36 000€. Vous gagnez en impôt 440 € d’impôt, soit 11% de 4000€. Vous pouvez gagner 1200€ si vous êtes à 30%.

Les crowdfunding

Le crowdfunding est un financement participatif en capital. Ce mouvement s’est largement généralisé ces dernières années. Beaucoup de petites startups font appel aux investisseurs via ce mouvement. Cette opération s’avère très intéressant. D’une part, vous bénéficiez de réduction d’impôt de 25% du montant investit et dans la limite de 10 000€ par an. D’une autre part, vous pouvez prétendre aux dividendes si l’entreprise se trouve en situation bénéficiaire et décide d’en distribuer. Par contre, il faut quand même maintenir l’investissement pendant au moins 5 ans.

Toutefois, le risque zéro n’existe pas. La faillite, la liquidation peuvent survenir à tout instant. Il est donc important de rester prudent et bien choisir un secteur bien porteur et si possible diversifier la mise dans plusieurs PME différents.

Read Full Article

Le service Paypal s’est largement développé ces dernières années. Beaucoup de particuliers l’utilisent pour effectuer des transferts d’argent sans se soucier de rien. Créer un compte est simple. Le transfert est gratuit. Par contre, nous avons bien entendu parlé récemment de frais de 12€ par an. En effet, il s’agit de frais d’inactivité d’introduit le géant de gestion de transfert d’argent.

Qu’entend-on par l’inactivité ?

Pour la firme, le compte est inactif lorsqu’il n’est pas utilisé pour recevoir ou transférer de l’argent, ou simplement quand l’utilisateur ne s’est pas connecté à son compte depuis plus de 12 mois consécutifs.  

Si vous possédez un compte Paypal, vous ne payez aucun frais de gestion jusqu’à présent. Mais les clauses du contrat d’utilisation ont récemment changé. Désormais, posséder un compte sans opérations occasionne des frais de gestion.

Cette mesure est-elle légale ?

Oui, l’introduction de frais de gestion de compte est tout à fait légale. Par contre, l’entreprise a l’obligation de prévenir ses utilisateurs après 12 mois de sommeil.

Cette pratique n’est pas une nouveauté. D’ailleurs, elle est aussi mise en place chez « Lydia ». C’est une application que pas mal de personne utilise pour recevoir et envoyer de l’argent via le numéro de téléphone ou un QR code.

Quelle est la date de mise en application cette nouveauté ?

La mesure sera mise en place à partir du 16 décembre 2020.

Comment faire pour éviter les frais ?

Pour éviter les frais, les utilisateurs de ces comptes inactifs sont invités à clôturer son compte avant le 16 décembre 2020. Si non les frais seront renouvelés chaque année.

Il y a d’autres possibilités si vous souhaitez conserver votre compte. Vous devez soit effectuer au moins un transfert d’argent par un, soit simplement se connecter à votre compte une fois par an.

Comment ça se passe en cas de solde insuffisant ?

Selon Paypal, les frais seront de 12€ maximum. Si le solde de votre compte est inférieur à 12€, il sera prélevé le montant restant dans votre compte. Il n’y aura donc pas de découverte bancaire.

Read Full Article

La crise est comme une maladie qui est toujours mauvaise pour la santé du pays. On n’aime pas ce terme car il provoque une détresse, une dépression. Le pays peut plonger dans une récession et une pauvreté. Les gens perdent leur travail, leur logement. Mais on n’est jamais à l’abri de la crise.

Depuis le début de l’année 2020, nous avons tous bien entendu du Covid-19 et remarqué les effets Covid sur la vie sociale, humaine. L’économie de chaque pays touché ou non touché par le virus, est aussi affectée à cause de la mondialisation du commerce.

Le marché boursier est également remué à cause de l’événement. Le phénomène sème des doutes et des incertitudes chez les investisseurs qui ont du mal à anticiper et se projeter dans un investissement. Faut-il attendre pour investir ? est-il toujours profitable d’investir dans la bourse ? Peut-on parler de krach boursier 2020 ? Si c’est le cas, peut-on profiter de cette crise ? Quand est-ce le moment de profiter de l’opportunité ? Quels sont donc les indicateurs à prendre en compte pour se lancer dans un projet ? Peut il avoir un krach immobilier suite à la crise sanitaire?

Si on regarde bien dans l’histoire, il existe en tout 16 krachs.

  • 1637 : krach tulipe
  • 1720 : krach spéculatif en grand bretagne
  • 1882 : krach de l’union générale
  • 1929 : krach à wall street
  • 1987 : krach à wall street
  • 1998 : krach russe
  • 2001 : krach bulle internet
  • 2008 : crise suprimes
  • 2011 : krach financier

Voici de quelques événements les plus marquants.

Histoire du krach 1929

La crise de 1929 est une crise boursière qui s’est déroulée entre le 24 et le 29 octobre 1929. Ce krach est le plus célèbre et le plus sévère dans l’histoire boursière. Ce jeudi noir du 24 octobre 1929 a été le début de l’effondrement des actions à Wall Street, suivi par la banqueroute de plusieurs banques et d’entreprises. Le niveau de vie des populations a été détérioré. Plusieurs personnes se sont retrouvées sans travail ni abri du jour au lendemain. Les conséquences de cette crise ont duré plus de 10 ans.

Les causes de la crise 1929

Dans les années 20, l’économie américaine était en pleine forme. Cette croissance rapide a été fondée sur la croissance de la production industrielle et les progrès techniques. Les entreprises américaines investissaient massivement en faisant des emprunts auprès des banques. Les particuliers achetaient les actions à crédit en espérant faire de la plus-value à la vente. Cette facilité de contracter un prêt et d’injecter de l’argent dans les affaires a créé un véritable boom spéculatif. Les cours augmentaient.

Cette croissance exponentielle était en réalité fictive. Tout était basé sur le chiffre et l’argent qui n’appartenaient à personne. Le début du krach a commencé par la faillite des entreprises qui réalisaient la surproduction industrielle alors qu’il n’y avait pas assez de demande. On imagine ensuite l’effet boule de neige de cet événement. La panique a envahi le terrain. Les gens mettaient leurs titres en vente pour éviter la perte. 13 millions de titres étaient sur le marché alors qu’il n’y avait pas d’acheteurs potentiels. Les cours ont chuté le jeudi 24 octobre puis se sont aggravé les jours suivants.

Les conséquences du jeudi noir

Cette crise boursière a provoqué ensuite la crise économique. Les entreprises font faillite et ne peuvent rembourser les banques. Les banques font banqueroute et sont face aux demandes de retrait d’espèce. Les particuliers sont inquiets et retirent de plus en plus l’argent de leurs comptes en banque. C’est un cercle vicieux.

La crise économique a, son tour, engendré la crise sociale. Les gens perdent leur emploi, leur abri et n’ont plus de ressource pour se nourrir. Certains qui ont tout perdu et qui se trouvent dans l’incapacité de rembourser les dettes, se suicident.

La crise américaine n’a pas touché seulement l’Amérique des Etats-Unis mais s’est également propagé dans le monde, comme un virus incontrôlable. Les banques américaines souhaitaient récupérer leurs capitaux investis à l’étranger, ce qui a mis en danger les entreprises et l’économie des autres pays européens faute de financement. L’importation diminuait et la consommation baissait. Les fournisseurs se sont retrouvés également en difficulté, face à la baisse de demande d’importation des Etats-Unis.

Les solutions apportées suite à la crise

Pour redresser la situation, les états ont essayé tous les moyens possibles.

  • Dévaluation de la monnaie pour stimuler l’exportation
  • Déflation 
  • Relancer la consommation par les aides d’Etat aux particuliers et entreprises.

C’est cette dernière solution mise en pratique par le président Américain Franklin Rosevelt qui a permis à l’économie américaine de repartir à la hausse.

Histoire du krach 2001

Le krach 2001 est dû à la bulle spéculative technologique. La période 1995-2000 a été une période glorieuse avant la chute de 2001. La politique d’ouverture à la concurrence du secteur de la télécommunication a un effet positif sur la croissance du marché. Les entreprises partent à la recherche de nouveaux marchés à l’international. Les starts-up avec des savoir-faire et technologie très pointue sont nés comme des champignons. Pour limiter la concurrence et avoir le contrôle du marché, les grandes sociétés n’hésitent pas d’acheter les petits avec des moyens colossaux et surtout sans stratégie ni objectif clair. La recherche de capitalisation pour élargir la part du marché incite donc ces grands groupes à rentrer en bourse. La société Netscape a vu tripler le cours de ses actions en bourse en un jour. Les gains promis par les sociétés dans le secteur de télécom et informatique attirent beaucoup d’investisseurs. Le volume d’actions émises sur le marché est de plus en plus important. Les achats sont financés par des emprunts et des crédits bancaires. Jusqu’à là, tout va bien. Les opérations boursières sont de grandes ampleurs. Le cours des actions grimpe avec des spéculations sans liens réels avec le chiffre, le résultat et la santé des entreprises.

Avec des ambitions de grandir sans cesse, certaines entreprises s’endettent lourdement pour investir dans les nouvelles acquisitions de licence et d’équipement. Certaines, pour diversifier, sortent complètement de son champ en achetant d’autres entreprises du secteur qui n’a rien à voir avec son métier d’origine. Ces types d’opération se généralisent et la bulle finit par s’éclater en 2001 à cause de la hausse des taux d’intérêt à long terme. Le krach se propage et provoque une récession économique dans le secteur et dans l’économie.

Les conséquences de la crise

La chute et la faillite de ces entreprise du secteur de la TIC ont causé beaucoup de dégâts. La politique pour sauver les entreprises consiste à réduire de coût avec des plans de départs volontaires des salariés, des suppressions de poste, des licenciements, des départs anticipés à la retraite ou des fermetures des sites.

Beaucoup de particuliers qui ont fait des emprunts auprès de leurs banques pour acquérir des actions, sont ruinés. Ce sont des gens qui espèrent faire fortune avec la bourse en ayant peu d’information et en misant gros.

Le système de retraite par capitalisation de certains pays comme en Amérique du nord a été sévèrement touché. En général, ce système est géré par des gestionnaires et financé par des placements dans différents produits tels que les actions. L’effondrement de cours des actions des entreprises de la TIC a donc impacté le fonds de pension de retraite.

La croissance du secteur de la TIC a fait que les locaux professionnels sont pris d’assaut. Les prix de l’immobilier sont flambés à cause des fortes demandes des millionnaires de stock-options. La fermeture des sites et la surcapacité des locaux professionnels font chuter les loyers des bureaux et des logement privés.

Histoire du krach 2008

La crise de 2008 est d’origine bancaire et financière. Elle a débuté avec la crise des subprimes de 2007 puis la crise mondiale financière 2007-2008. Cette crise a mis du temps de concrétiser.

Le marché des subprimes aux Etats-Unis s’est bien développé à partir de 2001. Sur ce marché, les emprunteurs peu solvables, c’est-à-dire en situation peu fiable, peuvent très facilement contracter les prêts immobiliers avec un taux d’intérêt révisable indexé selon la réserve fédérale des Etat-Unis et une prime de risque souvent élevé. Ils peuvent emprunter jusqu’à 110% de la valeur du bien avec une capacité de ne rembourser que les intérêts. La croissance du marché s’explique par le niveau très bas de taux d’intérêt et les garanties portées par l’Etat selon la législation américaine de 1977.

Les causes de la crise

Les institutions financières sont obligées par le service fédéral urban de réserver un pourcentage de prêts financiers aux ménages les moins aisés, sans augmenter les fonds propres. L’augmentation de prix immobilier ainsi que le coût de la vie ont pour conséquence alourdit la dette des ménages qui n’ont pas de capacité de rembourser et ne cessent de contracter des emprunts.

Ces établissements pratiquent ensuite la titrisation. En vendant les créances aux investisseurs à la recherche d’investissements attractifs, ils se libèrent de tout engagement et risque liés aux crédits, avant la fin de remboursement de prêt. Sans être bien informés du risque du produit, les nouveaux acteurs investissent massivement. Ils sont face aux risques liés aux crédits en cas de défaut de remboursement des emprunteurs.

Ce marché de titrisation a encouragé les institutions financières à prendre de plus en plus de risque en accordant d’avantage de prêts. Les achats d’obligations sont dangereux mais bien rentables. Le rendement de ce type d’investissement attire de plus en plus d’acteurs économiques et les incitent à investir dans les actifs à haut risques proposés par les banques.  Ces prêts faciles ont entrainé une bulle immobilière puis une bulle de crédit.

Il faut reconnaitre que le système est très fragile comme un château de carte. Tout repose sur la capacité des ménages à rembourser. La crise a été déclenchée suite à la révision de taux d’intérêt de la FED (la réserve fédérale des Etats-Unis) passant de 1% à 5,25% entre 2004 et 2006. Les mensualités augmentent et les ménages ont du retard voire des difficultés à faire face aux remboursements. Les banques ont commencé à saisir les biens immobiliers hypothéqués. Beaucoup de saisies immobilières ont eu lieu car la grande partie des emprunts est prêtée aux revenus modestes.  Les banques procèdent ensuite à les vendre sur le marché. L’offre est plus forte que la demande. En conséquence, le prix de l’immobilier a chuté à partir de 2006, jusqu’à 20%. Les banques ne peuvent plus combler leurs pertes avec la vente de biens saisies.

Les conséquences de la crise subprime

Les conséquences directes de cette crise se trouvent dans la chute des entreprises. Elle provoque la faillite de beaucoup d’établissements de prêts hypothécaires à risque, qui a ensuite généré l’effondrement de prix des actions des entreprises du secteur de crédit. La perte est colossale. Elle est estimée à près de 1000 milliards de dollars selon la FMI.

Cette chute a aussi provoqué des milliers de licenciements dès l’été 2007.

Solutions apportées pour redresser la situation

  • La nationalisation des établissements de crédit en faillite tels que la banque Northerm Rock, la société Freddy Mac, Fannie Mae …
  • La restructuration des banques d’affaires américaines en obligeant certaines banques d’investissement à se transformer en banque de dépôt.
  • Plan de sauvetage a été lancé dans certains pays

Les indicateurs qui signalent la possibilité de krach financier 2020

Le krach 2020 est-il possible ? Il faut regarder les différents facteurs clés qui ont causé des krachs dans le passé.

Les causes principales sont la spéculation et les prêts à risque avec des taux d’intérêt très bas tel le cas de l’année 1929, 2001 et 2008.

En 2019, le taux d’intérêt était très bas, à peine 1%. Les banques accordaient facilement des prêts aux ménages à revenus modeste pour les projets immobiliers. La banque centrale a mis en garde cette situation en appelant toutes les banques à prendre plus de précaution et en rappelant bien la situation avant la crise 2008.

L’année 2020 est aussi marquée par l’arrivée de Covid-19 qui a causé un dégât énorme au niveau humaine, sanitaire, sociale, commerciale, économique et financière. Les mesures drastiques mis en place par différent pays pour limiter la propagation des virus a plongé l’économie de chaque pays dans le rouge.  Le confinement en Chine, grand fournisseur mondial, a bouleversé le commerce international en bloquant l’approvisionnement des différents produits exportés et importés. En France, cette mesure a aussi mis à l’arrêt l’économie. Par conséquence, les commerçants souffrent ; le chômage, la pauvreté augmente ; les ménages également souffrent de dépression…

Le gouvernement débloque des milliards d’euro pour aider les grandes et petites entreprises à résister à cette crise sanitaire.

Cet événement très marquant dès le début de l’année 2020 n’est toujours prêt de terminer. La deuxième vague est en train de gagner le terrain en fin d’année. Cela crée encore une fois la panique générale qui a un impact financier très important au niveau mondial ainsi les cours boursiers.

Selon l’indice S&P 500, le cours boursier n’arrête pas de chuter. Les experts affirment que si cet indice ne se stabilise pas et que les échanges ne dépassent pas le niveau des 2200, il y a possibilité de la crise financière de cette année soit plus forte que celle de 2008. Les conditions financières et économique de 2020 sont très similaires à celles de l’année 1929 et 2008. Alors jusqu’ou peut-elle aller la crise de 2020 ? Les conséquences seront-elles aussi catastrophiques que celles de 1929 ? Peut-il avoir un deuxième krach boursier en 2020? Quel serait le risque du krach boursier 2020? Serait il possible d’avoir un effondrement bancaire en 2020? que faire en cas de krach boursier en 2020?

Le cours boursier est à surveiller de près. Les précautions sont à prendre sérieusement. On a déjà connu plusieurs crises dans le passé. Elles peuvent nous servir de leçons pour éviter le maximum de dégât en examinant les conditions fondamentales et analysant les comparatifs pour mieux anticiper l’évolution de la situation. Les études de ces cas concrets sont aussi bénéfiques pour ceux qui veulent se lancer dans la bourse. Ces crises se produisent souvent et se répètent. Il est toujours possible de profiter de la crise.

Read Full Article

La loi Pinel est en place depuis 2015 et offre des avantages à chaque Français dans certaines conditions. Intéressé par ce dispositif, vous cherchez quelques réponses à vos questions ? Nous mettons à votre disposition une mine d’informations au sujet du Pinel.

Quel est l’intérêt de la loi Pinel ?

La loi Pinel met à disposition un dispositif de défiscalisation par le biais de l’investissement immobilier. C’est-à-dire qu’une personne étant fiscalement domiciliée en France peut acheter un logement et le mettre en location afin d’obtenir une réduction d’impôts. Cette réduction peut être de 12%, 18% ou de 21%. Ce dispositif est valable pour les achats effectués jusqu’au 31 décembre 2021.

Quels types de logement sont concernés ?

L’état du logement

Pour que la loi Pinel puisse vous faire bénéficier de ses avantages, vous ne devez pas acheter n’importe quel logement. En effet, il doit être neuf lorsque vous l’achetez. Il ne doit pas s’agir d’un logement rénové à neuf mais bien un appartement ou une maison tout juste construits.

Il peut être question aussi d’un logement acheté sur plan et qui sera fini dans les 30 mois suivants la signature. C’est ce que l’on appelle une Vente en Etat Futur d’Achèvement, soit VEFA. C’est également un logement neuf mais pas fini.

Enfin, vous pouvez investir dans logement dit « ancien » en répondant à plusieurs conditions. Le logement doit notamment être considéré comme insalubre et inhabitable au moment de l’achat par exemple et répondre à des performances énergétiques équivalentes à celles d’un logement neuf. Il faut donc faire très attention aux conditions avant d’investir dans quoi que ce soit.

Les zones géographiques

Cette loi ne comprend toute la France. En effet, plusieurs zones géographiques ont été définies. On compte trois zones : la zone A, la zone A Bis et la zone B1. En 2020, elles correspondent à cela :

  • Zone A : Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, le côté français de l’agglomération Genevoise, la région Île de France, et enfin la Côte d’Azur
  • Zone A Bis : Paris avec les 29 communes de ses alentours
  • Zone B1 : toutes les agglomérations comprenant plus de 250 000 habitants, la grande couronne de Paris et plusieurs villes dans lesquelles les prix de l’immobilier sont hauts

Les loyers plafonnés

Lorsque vous mettez votre logement en location, vous devez respecter les plafonds imposés des loyers si vous voulez bénéficier de la loi Pinel. En 2020, un loyer ne peut pas dépasser 17,43€ du m² en zone A Bis, 12,95€ par m² en zone A et 10,44€ par m² en zone B1. Ces restrictions permettent un accès plus facile aux familles tout en garantissant un bon rendement locatif.

Qui peut louer un logement soumis à la loi Pinel ?

Les locataires

Le dispositif n’est pas réservé à un seul type de ménage. En effet, il peut s’agir d’une ou plusieurs personnes. Que se soit une famille ou un couple seul, tout le monde a le droit de louer un logement en loi Pinel. Les locataires doivent en faire leur résidence principale et y rester pour six, neuf ou douze ans. Ce sont les conditions pour que le logement soit compris dans le dispositif.

Le plafond de ressources

C’est quand même un peu sélectif. Les locataires ne doivent pas dépasser les plafonds de ressources établis par zone. Seul ou en couple, les revenus à l’année sont limités pour pouvoir louer. Voici les plafonds de ressources pour une personne seule pour l’année 2020 :

  • Zone A Bis : le maximum est de 38 465€ par an
  • Zone A : elle ne doit pas gagner plus de 38 465€ par an
  • Zone B1 : il ne faut pas avoir des revenus au-delà de 31 352€ chaque année
Read Full Article

L’argent est une denrée précieuse, car elle reflète souvent notre travail. Des heures de labeurs, des années d’études, des échecs et des réussites qui, petit à petit, vont nous permettre de nous constituer une épargne personnelle.

Peu importe le montant de cette dernière, notre argent durement gagné peut-être optimisé et notre épargne peut fructifier.

Les conseillers en gestion patrimoniale, sont des professionnels formés à l’accompagnement sur ce chemin de construction d’un capital.

Mais pourquoi faire appel et rémunérer un conseiller sur des questions de défiscalisation, épargne, ou encore investissement immobilier, lorsque nous sommes en mesure d’exécuter ces placements seuls ?

Avoir à faire à des experts

Le conseiller en gestion de patrimoine doit posséder à minima un Bac+4 et va souvent aller jusqu’au bout d’un master, soit 5 années d’études au total. Il a donc étudié tous les recoins et la technicité de la finance, la banque, les sciences économiques ou encore l’assurance.

Le conseiller patrimonial est un expert pluridisciplinaire dont il est difficile de se passer à l’heure de vouloir faire fructifier correctement et efficacement son épargne.

Il arrive souvent que du haut des quelques connaissances que nous pourrions avoir nous prenions des décisions fiscales qui engendre, entre autres, des recouvrements d’impôts élevés et non espérés.

La question juridique également est très présente et complexe dans des situations de défiscalisation notamment. Le conseiller en gestion de patrimoine connaît et est habitué aux placements financiers et son accompagnement permet de sécuriser juridiquement vos démarches.

Des professionnels bénéficiant d’importants réseaux

De par la diversité des placements existants, le conseiller en gestion de patrimoine s’entoure d’autres professionnels compétents.

Les champs d’expertise de ce dernier sont vastes et très diversifiés. Il peut vous conseiller pour des placements immobiliers en France ou à l’étranger, des placements financiers sur différents supports d’épargne ou encore des niches fiscales permettant de bénéficier de défiscalisation.

Voilà pourquoi il possède des partenaires, souvent locaux à l’emplacement de son cabinet.

Dans le 14e arrondissement de Paris, le cabinet Influence Patrimoine témoigne par exemple d’un vaste réseau de professionnels partenaires dans la région Île-de-France dont profite sa clientèle : “En tant que conseillers en gestion de patrimoine indépendants, nous ne dépendons pas des produits proposés par un seul et unique groupe. Cela nous permet de chercher les meilleurs partenaires, ceux qui disposent des offres les plus intéressantes pour nos clients. Nous avons construit notre réseau depuis l’ouverture du cabinet en 2013 et nous ajoutons de nouveaux partenaires chaque année. Par exemple, cette année, nous avons signé un nouveau partenariat pour l’investissement dans les grands vins, un pour l’investissement dans l’or et l’argent physiques et un dernier qui propose de l’investissement locatif aux USA”.

Un accompagnement humain et sur du long terme

Le conseiller en gestion de patrimoine est avant tout un être humain. Son empathie et son écoute vont être un atout pour obtenir des solutions financières totalement personnalisées. Son expertise et son expérience, couplées à une étude efficace de votre situation, devraient lui permettre d’établir le bon « diagnostic » quant à votre épargne. Le conseiller va prendre en compte votre situation financière actuelle, comme vos revenus ou vos biens déjà possédés, ainsi que votre épargne.

Pour prendre un exemple concret, lorsque vous effectuez votre déclaration d’impôts, il est possible de réaliser cette manœuvre directement en ligne sur le site des impôts. Passer par un conseiller en gestion de patrimoine permet toutefois, sur ce genre d’opération, de bénéficier de son expertise sur le sujet. En effet, non seulement le conseil grâce à l’œil avisé de cet expert mais également le suivi et l’accompagnement sur le long terme vont être de réels atouts. Les cabinets de gestion de patrimoine peuvent vous permettre de réduire vos impôts en utilisant des techniques moins connues du grand public.

À l’époque du 2.0, bien que plus simple, tout individu gagne à être rassuré, mais surtout conseillé.

Read Full Article

Le e-commerce se développe de plus en plus depuis déjà quelques années. Avec l’évènement du Covid-19, le processus accélère. Mais est-ce possible de faire du e-business sur les réseaux sociaux ?

Oui tout est possible. Beaucoup de gens sont devenus millionnaires juste en développant leur business grâce à l’internet. Les réseaux sociaux, quant à eux, ont bien compris ce principe de communication digitale. Pour eux, c’est un filon d’or qu’il faut détenir. Avec leurs moyens colossaux en termes de ressources financières et humaines, ils investissent. D’ailleurs c’est bien le cas de Facebook qui propose récemment une application bêta checkout pour mettre en relation les vendeurs et les consommateurs. Le mécanisme fonctionne comme le dropshipping. Les acheteurs peuvent désormais acheter les produits directement sur le place-forme de géant de net.

Comment fonctionne le bêta checkout sur Facebook ?

Il faut savoir que les publications naturelles sur les pages d’Instagram peuvent être partagées sur les pages Facebook. Et via le gestionnaire de publicités, elles peuvent être transformées en publicités.  Pour les entreprises, posséder une page sur ces réseaux sociaux est un des moyens d’aller chercher encore plus de clientèle et d’agrandir la part de marché. Les petits commerçants comme les petites ou grandes entreprises, ont chacun au moins une page et profitent de ce service proposé par les réseaux sociaux à prix raisonnable pour faire connaitre aux publics leurs produits. C’est une nouvelle forme de marketing digital qui s’adapte à chaque projet et budget.

Depuis l’année 2019, Facebook a de nouveau commencé à tester le paiement intégré à cette application bêta avec un petit groupe de commerçants qui diffusent leurs publicités. C’est encore une fois un énorme coup de pouce qui fait profiter aux vendeurs comme aux acheteurs. Ces derniers n’ont désormais pas besoin de quitter son compte pour passer la commande sur le site de vendeur. La plateforme fonctionne donc comme un vrai site de marchand avec un système de commande et de paiement.

Le parcours d’achat est suivant. Prenons l’exemple d’un sac à dos

  1. La publicité du sac à dos est diffusée sur le compte Facebook de l’utilisateur
  2. Une fois que l’utilisateur clique sur le produit, il sera dirigé sur la page de description du produit où il peut consulter le prix et les autres caractéristiques comme la couleur, la taille….  Et bien sûr les conditions de paiement, de livraison et de retour.
  3. Le consommateur peut également voir les autres produits vendus par le vendeur et consulté les avis des consommateurs sur le produit
  4. A la fin, si l’utilisateur clique sur « checkout sur facebook », il sera dirigé sur la plage checkout, où les informations le concernant (adresse, information de moyen de paiement, nombre de commande…) sont remplies.
  5. S’il décide d’acheter le produit, il n’a qu’à valider la commande, en remplissant le code promo s’il en possède un. Voilà le tour est joué.
  6. Le consommateur va recevoir un mail de confirmation de son achat avec toutes les informations de livraison ou en cas de retour.

Cette opération est rapide et ne nécessite pas aux consommateurs de remplir quelconques informations car ces informations sont déjà stockées sur leurs comptes. C’est un avantage énorme pour les entreprises de se faire encore plus de chiffre.

Côté consommateur, l’opération d’achat est rapide. Par contre, cela peut devenir très incontrôlable surtout ceux qui sont acheteurs compulsifs car ils n’auront pas assez de temps de réflexion comme dans les opérations d’achat classique. De plus, beaucoup de personnes sont accros aux réseaux sociaux. Ces publicités diffusées constamment sur ces réseaux, sont des moyens supplémentaires pour inciter à la consommation.

Quels autres réseaux s’y mettent aussi ?

Facebook n’est pas le seul réseau social qui a cette idée de lancer ce nouveau business juteux. Instagram s’y met également. Mais en même temps, ce n’est pas étonnant, car Instagram appartient au même propriétaire de Facebook. Le principe reste le même. Instagram donne la possibilité aux annonceurs de transformer leurs publications en publicités, grâce au gestionnaire de publicités.

Je parie que les autres réseaux, tels que tweeter, Snapchat …, vont dans le plus proche futur suivre le mouvement. On imagine bien des milliards d’euros et de dollars de transaction commerciale vont se passer sur ces sites qui ne sont pour l’instant qu’un petit maketplace. Avec des millions d’utilisateurs, ces sites vont vite devenir un géant de commerce en ligne, non loin d’Amazon.

Quel serait l’avenir de ce commerce en ligne ?

Avec un tel engouement, on ne peut que constater l’accroissement de ce business en-ligne. L’application Bêta checkout de Facebook est un exemple très concret. Les parcours d’achat sur le net sont devenus de plus en plus fluides et les questions de retour et de paiement ne sont plus des obstacles de ce nouveau business. Les entreprises ainsi que les différentes plateformes de vente trouvent de plus de plus de moyens pour satisfaire et fidéliser leurs clientèles.

Si les autres réseaux sociaux s’y mettent comme Facebook, ils vont tous devenir comme Amazon qui est un exemple de place de marché pour plusieurs commerçants et entreprises de différents continents.

Par contre, il faut noter que malgré un service très fluide de facebook, les entreprises ne peuvent pas récupérer les informations sur les consommateurs. Ce sont des informations importantes et cruciales qui peuvent servir aux vendeurs d’étudier le comportement d’achat ou même faire d’autres campagnes de publicités comme le e-mailing.

Read Full Article

Internet est infini, il est donc logique de faire de la publicité pour votre site Web afin d’attirer plus de clients. Une agence SEO est alors nécessaire. Mais comme partout, il n’y a pas que des professionnels, mais aussi de nombreux moutons noirs. Afin que vous puissiez trouver le bon partenaire, nous vous donnons des conseils sur ce qu’il faut rechercher lors de la recherche de votre agence de référencement et sur les erreurs courantes à éviter.

Les choses à ne pas faire lors de la recherche et ce qu’il faut éviter

Prendre les références clients pour acquises

Les références sont facilement vérifiables afin d’évaluer les services offerts par une agence et la compétence avec laquelle ils sont mis en œuvre. Cependant, certaines agences se vantent très vite de leurs soi-disant succès. Ainsi, lorsque de nombreux grands noms tels que BMW, Aldi et CIC sont à l’écran, on peut supposer que des partenariats. Mais, il faut toujours s’interroger sur les projets et même, si possible, survoler leur évolution au cours des dernières années.

Les entreprises ayant une connexion avec Google

Elles existent, les agences qui prétendent avoir une idée de l’algorithme de Google. Par exemple, parce qu’un ancien stagiaire de Google travaille pour eux ou quelque chose comme ça. En bref, non.

Personne n’a de relations particulières ou d’informations sur le fonctionnement exact de la recherche Google. Google garde ces informations comme un secret d’État et veillera à ce que rien ne soit divulgué. Toute personne qui fait une telle affirmation ment, soit délibérément, soit par ignorance, et doit être évitée dans les deux cas.

Le positionnement sur Google comme référence

Celui qui parvient à obtenir une position de premier plan sur Google doit connaître son métier. Une hypothèse très typique, car l’idée semble logique à première vue. Certes, certaines choses ont été bien faites dans le passé, mais cela ne signifie pas que l’agence continuera à développer ses processus. Elle doit faire du bon travail aujourd’hui et demain, et il doit pouvoir s’adapter à vos besoins personnels et à l’évolution des comportements de recherche. Le marketing en ligne dans son ensemble se réinvente régulièrement et il en va de même pour toute agence qui souhaite réussir à long terme.

Partenaire Google

Un partenaire Google est directement certifié et doit donc connaître son métier. Malheureusement, cette certification est conçue pour les annonces Google, elle est relativement facile à obtenir. Une agence n’a besoin de maîtriser que quelques bases de la gestion publicitaire. Cela peut être appris rapidement, même avec un petit effort. La certification n’est donc pas, très significative.

Les promesses vides

Vous négocierez probablement votre contrat avec un commercial. Bien que cette personne ne soit généralement pas une experte SEO, elle connaîtra les types de contrats et pourra faire des recommandations de base. Cependant, il y a des déclarations où votre alarme interne devrait sonner :

  • Nous vous garantissons la première place (Absolument personne ne peut garantir cela)
  • Nous soumettons votre site web à tous les moteurs de recherche (Il n’est pas nécessaire de l’entrer nulle part, les moteurs de recherche peuvent le faire eux-mêmes assez bien)
  • Nous supprimons les liens de retour établis après la fin du contrat, après tout, ce sont nos ressources.(chaque lien est unique et non « réutilisable ». Vous voulez juste les lier au contrat).
  • Nous doublons votre nombre d’utilisateurs dans les 3 prochains mois (Fixer des objectifs est une bonne chose ; mais même le meilleur professionnel ne peut donner de garanties)

Les références clients, les certifications et la taille de l’agence ne disent que peu de choses sur une agence. Si vous ne pouvez rien montrer, vous ne savez probablement pas ce que vous faites, car vous ne vous présentez même pas. En revanche, toutes ces certifications ne garantissent pas d’avoir trouvé le bon partenaire. Mais comment trouver une bonne agence de référencement ?

Les choses à faire lors d’une recherche : nos conseils sur la façon de procéder

Comme pour les autres professionnels, qu’il s’agisse d’un médecin, d’un avocat ou d’un électricien, votre partenaire doit être un expert dans son domaine. Malheureusement, cela signifie aussi qu’il est difficile d’évaluer qui a vraiment un potentiel ou qui est capable de donner de fausses informations. Vous devez donc faire votre choix sur la base de choses que vous pouvez évaluer.

Des recommandations avec des sources fiables

Vous connaissez certainement quelqu’un en qui vous avez confiance et qui travaille déjà avec une agence de référencement. Demandez à la personne quels services sont utilisés et quelles sont les expériences faites jusqu’à présent. Les recommandations personnelles restent l’un des meilleurs moyens de trouver une bonne agence.

Explication des procédures

Parlez de vos objectifs et laissez l’agence vous donner des exemples de la manière dont le projet fonctionnerait. Si vous parlez de référencement comme d’un besoin et que vous entendez toujours parler de placement d’annonces, le référencement n’est probablement qu’un service accessoire. Les organismes de services complets doivent écouter attentivement, non seulement ce qui est recommandé, mais aussi comment. Assurez-vous que les spécificités de votre projet et de votre secteur d’activité sont prises en compte. Essayez de savoir si le service est structuré (plans éditoriaux, listes de contrôle, etc.) ou si vous y travaillez d’une manière ou d’une autre.

Une durée de contrat raisonnable

Vous avez probablement souvent entendu dire que l’optimisation pour les moteurs de recherche prend du temps. En fait, pour les contrats entre 6 mois et 1 an, selon l’investissement, le succès peut aussi être obtenu plus rapidement, mais ce n’est qu’après 6 mois que l’on peut vraiment voir si ce sont les mesures SEO qui sont responsables. Tout ce qui a moins de 6 mois est rarement assez significatif, il peut aussi s’agir d’une fluctuation aléatoire du marché, positive ou négative.

La transparence des rapports

Demandez comment le rapport est conçu. Au mieux, un exemple peut être montré. Un rapport mensuel est généralement une bonne idée. À plus long terme, les évolutions négatives peuvent être détectées trop tard et les évaluations hebdomadaires ou même quotidiennes prennent généralement votre temps inutilement sans révéler de nouvelles informations dignes d’intérêt. Le rapport présente-t-il des chiffres clés importants pour vous, tels que le nombre d’utilisateurs et le travail effectué ? Existe-t-il un espace client que vous pouvez consulter en fonction de vos besoins ? Est-il possible de conclure des accords individuels ? Plus le rapport est transparent, meilleur est le contrôle que vous exercez et plus l’agence est confiante dans ses performances.

Conclusion

Même sans connaissances spécialisées, vous avez suffisamment de possibilités pour séparer le bon grain de l’ivraie. Nous vous conseillons une agence SEO collaborative, pour votre stratégie de référencement naturel.

Read Full Article

Consulter nos e-mails est probablement l’une des premières choses que nous faisons le matin. Nous voulons vérifier si nous recevons des courriels de nos collègues ou même des bulletins d’information de nos produits et fournisseurs de services préférés.

Le marketing par courrier électronique est considéré comme un outil efficace pour atteindre un public plus personnel. 90 % des adultes et 74 % des adolescents utilisent régulièrement le courrier électronique.

Cependant, nous ne pouvons pas nier qu’il y a beaucoup de concurrence pour attirer l’attention. Voici donc 7 étapes pour mener une campagne de marketing par e-mail réussie.

Créer des formulaires d’adhésion attrayants

Nous avons besoin d’une liste de personnes figurant sur notre liste de diffusion pour mener une campagne par courrier électronique réussie. L’un des moyens les plus simples est de générer des formulaires d’adhésion plus attrayants sur notre site.

Ces formulaires sont remplis par les utilisateurs qui ont de l’intérêt pour nos produits et services. Il existe différents types de formulaires d’adhésion, notamment des pop-ups de bienvenue, des fenêtres contextuelles de type « lightbox » et des fenêtres contextuelles d’intention de sortie, qui se sont révélées efficaces pour attirer l’attention des utilisateurs.

Constituer une liste de diffusion

Outre les abonnés qui ont rempli des formulaires d’option, il existe d’autres moyens de développer une liste d’adresses électroniques importante, en fonction de vos stratégies de marketing en ligne et hors ligne.

Lors de la constitution de votre liste d’e-mails, vous devez les classer en plusieurs sous-groupes en fonction de leur personnalité, de leurs intérêts et de leur comportement d’achat, ainsi que du nombre de fois qu’ils souhaitent recevoir des bulletins d’information.

Créer votre objet et votre copie

L’objet du message joue un rôle crucial dans le marketing par courrier électronique car il donne l’impression aux lecteurs qu’ils doivent cliquer et ouvrir votre message. Faites-en sorte qu’il soit direct, personnalisé et engageant.

Pour le texte de l’e-mail marketing, créez un crochet qui attirera l’attention du lecteur. Personnalisez-le en l’adressant à son nom. Ne présentez pas votre offre trop tôt. Vous pouvez les approfondir en écrivant des histoires personnelles auxquelles ils peuvent s’identifier. Donnez-leur envie de tout lire.

Conception professionnelle de l’e-mail marketing

Si la mise en page et le design de votre courrier électronique sont mauvais, il reflétera très mal votre entreprise. Votre conception est également un facteur qui les fera rester dans votre courrier électronique.

Donnez-lui un aspect professionnel !

Utilisez des modèles de courrier électronique réactifs, adaptés à une utilisation sur téléphone, tablette et bureau.

Se mettre sur la liste blanche

Utilisez un service de messagerie électronique réputé comme système.io pour vous assurer que votre courrier électronique atterrit dans leur boîte de réception et non dans le spam.

Vous pouvez également vous inscrire sur une liste blanche pour vous assurer que votre courrier électronique est correctement acheminé. L’inscription sur liste blanche vous permet d’être marqué comme un ami, et vous serez ajouté à son carnet d’adresses.

Utiliser l’analyse pour apporter des améliorations

L’analyse est un moyen plus efficace et plus rentable de connaître les performances de votre courrier électronique. Les trois principales analyses sont le taux d’ouverture, le taux de clics et le nombre de désinscriptions.

Grâce à l’analyse, vous pouvez notamment connaître le nombre d’e-mails non ouverts, le pourcentage de lecteurs qui consultent votre offre et le nombre de personnes qui ont résilié leur abonnement.

CONCLUSION

Le marketing par courrier électronique est en fait une forme de mort-vivant. Il est en train de devenir l’un des outils de marketing les plus efficaces du monde de l’internet. Il suffit d’être stratégique pour gagner la campagne. Si vous souhaitez en savoir plus vous pouvez découvrir le Guide Systeme.io pour l’emailing.

Read Full Article

De nos jours, dans le domaine du business en ligne, le Dropshipping revient très souvent, c’est le business à lancer en 2020 ! Mais pourquoi cet engouement depuis quelques années ? Pourquoi le Dropshipping est un business model intéressant pour se lancer ? Nous allons tenter de répondre à toutes ces questions dans cet article.

 Le Dropshipping

Qu’est ce que le Dropshipping?

Tout d’abord, qu’est ce que le Dropshipping ? C’est tout simplement un procédé logistique dans lequel vous n’avez pas à acheter ni gérer du stock. Beaucoup de formateurs vous présentent cela comme une “méthode miracle” pour devenir riche ! Ce n’est pas le Dropshipping qui peut faire votre succès mais l’e-commerce. C’est juste une méthode de distribution afin de faciliter la logistique pour le e-commerçant. 

le dropshipping : le e-commerce sans gestion de stock

Pourquoi travailler en Dropshipping?

Le procédé est le suivant : vous trouvez un fournisseur ayant des produits qui vous intéressent. S’il travaille en Dropshipping, c’est parfait. Dans le cas contraire vous pouvez lui proposer. Après avoir trouvé votre fournisseur, vous créez une boutique e-commerce dans laquelle vous proposez ses produits. Dès qu’un client commande sur votre boutique, vous passez commande chez votre fournisseur qui lui enverra le colis au client final. 

Des succès stories

De nombreux sites e-commerce ont commencé en Dropshipping pour ensuite investir dans du stock ou pour créer leur marque. Nous avons des exemples à vous donner comme Gymshark ou Daniel Wellington. Ces entreprises valent aujourd’hui des millions voir des milliards d’euros ! 

Comment travailler en Dropshipping?

La “formule magique” : Aliexpress et Shopify

Si vous connaissez déjà le Dropshipping, vous avez surement déjà entendu la “formule magique Aliexpress + Shopify ! Attention, cette méthode peut fonctionner mais sachez qu’il n’existe pas que cette méthode. Aliexpress n’est pas la seule plateforme à travailler en Dropshipping, vous pouvez trouver des fournisseurs français ou européens travaillant en Dropshipping. 

Si nous pouvons vous donner un conseil, c’est le suivant : ne vous contentez pas d’Aliexpress, il faut aller plus loin, il y a de multiples manières de faire de l’e-commerce en 2020

Que faire si un fournisseur ne travaille pas en Dropshipping ?

Si un fournisseur vous plaît et qu’il ne travaille pas en Dropshipping, cela ne vous coûte rien de lui proposer, il n’est pas rare de voir des fournisseurs accepter ! Gardez bien cela en tête : le Dropshipping n’est qu’un procédé logistique qui existe depuis bien longtemps, ce n’est qu’une manière de faire de l’e-commerce ! 

La solution dropshipping en France avec Webdrop

Webdrop est une entreprise qui vous accompagne dans votre projet entrepreneurial en Dropshipping. Ils proposent une solution clé en main pour commencer à vendre en Dropshipping. Ils s’occupent de tout : du sourcing à la création de votre boutique e-commerce et synchronisation sur différentes plateformes et CMS

Ils ont une plateforme Webdrop-Market dans laquelle les fournisseurs vous proposent leurs produits. Aujourd’hui, le catalogue contient environ 150 000 références et ne cesse de croître. 

Récemment, ils ont développés une plateforme pour synchroniser les fournisseurs en dropshipping sur Ebay. Par la suite, ils ont l’ambition de travailler avec la plupart des plateformes e-commerce par exemple Amazon, Cdiscount, Dropizi, etc. L’objectif est que les revendeurs puissent vendre ou ils le souhaitent sans se soucier de la technique. 

Read Full Article

L’année 2020 a mal débuté avec la crise sanitaire due aux coronavirus- Covid-19. Personne ne s’attend à ce que ce virus peut nous engendrer. Dans nos idées, cette crise ne peut durer que quelques mois. Presque un an après le début de l’épidémie, le phénomène se répète. Les moyens drastiques sont mis en œuvre petit à petit afin de limiter la deuxième vague et la propagation de virus.

La première vague a bien fait des dégâts en termes de morts, de crise sociale, sanitaire, économique et financière. Le confinement pendant 3 mois entre Mars et Juin 2020 a bien fait chuter l’économie française et mis plusieurs commerces et entreprises en difficulté. Le taux de chômage augmente, les travailleurs perdent leurs travails.

On se demande bien quels seraient les impacts de cette crise sanitaire sur l’économie, l’épargne et le marché immobilier après le Covid-19 sur le long terme ? Va-il avoir un krach boursier et immobilier en 2020 comme en 2008 ?

Comment se porte le marché immobilier actuel ?

6 mois après le confinement on ne remarque aucune hausse, ni de chute de prix de l’immobilier. Le marché reste stable. Mais cette situation va-t-elle continuer ? Il y a plusieurs facteurs qui peuvent expliquer une possibilité chute de marché.

Le durcissement de conditions d’accès au prêt immobilier

Le marché immobilier en 2018 et 2019 se portait à merveille. La concurrence dans le secteur bancaire était féroce ; les conditions d’accès aux prêts étaient simples. Il y avait donc beaucoup de demande et de vente immobilière malgré le prix élevé.

Mais, en 2020, la HCSF a bien reproché aux banques d’avoir pris trop de risques et demande de durcir ces conditions. De plus en plus de banques demandes donc à leurs clients de me mettre de l’apport dans leurs projets immobiliers. 

La solvabilité des emprunteurs

On commence à constater petit à petit les effets de covid-19, après 3 mois de confinement. Chômages partiels, fermeture de certains commerces, licenciement…. Ce sont bien les conséquences de ces 3 mois d’arrêt total de l’économie. Le pouvoir d’achat des classes moyenne et pauvre baisse. Cette crise met plusieurs personnes financièrement en difficulté.

Non seulement le secteur de restauration mais également le secteur immobilier a également été mis à l’arrêt. Il y avait bien moins de transaction pendant cette période de fermeture, achat/vente ou location. Malgré la reprise du marché après le confinement, ce chiffre n’est qu’un rattrapage de projet déjà prévu avant cette période de fermeture. Les conditions d’accès à l’emprunt ont été renforcées. D’autant plus que la HCSF a demandé à la banque de respecter le seuil d’endettement de 33%.

L’augmentation de taux d’intérêt

Depuis toujours, on n’a jamais connu un taux d’emprunt aussi bas. En 2019, le taux d’intérêt était à peine plus de 1%. On n’est bien conscient que cette situation ne va pas durer. Voilà on a bien raison. Ce phénomène commence à changer en 2020 pour plusieurs raisons. Le covid-19 a tout fait changer. Le confinement a poussé les banques à prendre plus de précautions, en ce qui concerne l’octroi des prêts immobiliers. Elles anticipent les licenciements massifs et proposent moins de prêts avec un taux plus élevés par craint de la solvabilité des emprunteurs. 

Les projets immobiliers en baisse

On ne peut rien dire pour le moment. On ne peut qu’observer qu’il y a de moins de moins de projet immobilier. Face à la crise sanitaire et économique, l’inquiétude de ménages gagne le terrain.

Face à l’incertitude liée à la crise de covid-19, beaucoup de personnes préfèrent attendre et voir l’évolution de la situation en mettant à côté leurs projets. Y aura-t-il de licenciement en masse ? Vont-ils pouvoir garder leurs emplois ? Comment faire l’Etat pour redresser l’économie ? 

Toutes ces questions sans réponse entrainent une hésitation dans le projet d’investissement. Cette hésitation se ressent au fils du temps.

Va-t-il avoir un krach immobilier ?

Le durcissement de conditions d’accès au prêt, l’incertitude provoquée par le Covid nous amène à conclure une tendance du marché immobilier à la baisse. A quel point va-t-il baisser ?

Il est encore trop tôt pour dire qu’il y a une chute de prix de l’immobilier baisse. Ce qui est sûr, c’est qu’il y a bien une stabilité voire une légère baisse. Il suffit de consulter les annonces immobilières des agences spécialisés dans le secteur. Serait-il possible d’avoir 15% de baisse de prix ? Il y a bien une forte chance. Tout est possible. Mais il ne faut quand même pas attendre à une forte baisse car la demande de logement est toujours là. Le marché de location reste peut-être sans impact.

Est-ce le moment d’investir ?

Il ne faut pas se précipiter et se jeter dans le projet sans prendre en compte certains facteurs. Tout dépend de votre projet, s’il s’agit bien de projet locatif, de marchand de biens ou d’achat de résidence principale. Sans parler de marchand de bien immobilier, il est toujours plus intéressant d’acheter un bien immobilier pour plusieurs raisons.

Aide gouvernementale

Jusqu’à présent, l’intervention de l’Etat a aidé pas mal de gens à accéder aux logements. Les avantages fiscaux proposés concernent aussi bien l’achat de résidence principale que les investissements locatifs. L’Etat reste toujours là car c’est son rôle pour soutenir le secteur s’il souffre.

Le prêt à taux zéro, les différentes lois vont devoir aider les ménages de situation stable à trouver un financement pour le projet immobilier. Mais attention, il peut avoir aussi des changements dans tout cela. Il est important de rester attentif tout en bien préparant son projet.

Investissement locatif est toujours une affaire rentable

Si votre projet est un projet locatif, vous aurez toujours des demandes de locations car en France, il manque cruellement de logement. Les loyers ne vont pas baisser à cause du krach immobilier. Acheter un bien à un prix élevé est toujours un bon investissement si le projet est jugé rentable. Alors vaut-il la peine d’attendre le solde ? Acheter un bien quand le prix est au plus bas est encore meilleur. L’importance dans un investissement est de calculer la rentabilité et le cash-flow qui sont 2 indicateurs importants et nécessaires dans la prise de décision. Vous n’aurez pas de moins-value si le bien n’est pas vendu.

Profiter du krach immobilier

Le krach est un événement qui régule la bulle spéculative. Cette période est toujours une période propice pour ceux qui ont le moyen et l’envie d’investir.

Vu le contexte actuel et d’après mes observations, les effets de la crise sanitaire sont en train de se faire ressentir dans l’économie française. Il faut bien donc observer la situation pour pouvoir saisir l’opportunité de faire des bonnes affaires.

Read Full Article

Etes vous accros aux réseaux sociaux? Avez vous déjà vu des publicités sur ces sites? Avez vous déjà tenter d’acheter le même produit ? Pourquoi et combien de temps par jour passez-vous sur votre compte Instagram ou Facebook?

Les réponses à ces questions sont des informations détenues par ces géants de net. Elles sont collectées, conservées, exploitées et étudiées avec précisions pour déterminer le comportement d’achat, la préférence ainsi que les attitudes de chaque personne. Pour les investisseurs et les vendeurs, ces informations sont importants pour proposer un bon produit à chaque personne concernée. C’est ainsi que le processus d’achat peut aboutir. Pourquoi les réseaux sociaux comme Instagram et Facebook se lancent-ils dans le e-commerce? Vont-ils pouvoir faire face à ses concurrents?

Pourquoi ces réseaux sont-ils si populaires ?

La première fonction de ces réseaux sociaux est de rassembler et connecter tous les utilisateurs au même endroit. Les utilisateurs prennent le plaisir de partager leurs aventures, leurs expériences, leurs activités quotidiennes… en postant des photos, vidéos ou des messages. La communication et les échanges sur les réseaux sociaux sont devenus un quotidien des plusieurs milliards de personnes dans le monde entier.

Instagram, le petit frère de Facebook est devenu très populaire en quelques années en suivant les pas de son grand frère ainé. Ce qui est impressionnant est qu’il n’est pas un simple réseau social mais aussi un empire de lèche vitrine. Les utilisateurs ne viennent pas que pour poster leurs photos et présenter fièrement leurs styles mais ils viennent aussi pour trouver l’inspiration auprès de leurs idoles ou leurs ami(e)s. C’est devenu une sorte de centre commerciale sans frontière. Les influenceurs/ses, quant à eux, l’utilisent comme un moyen de communication pour se faire de la popularité.

Comment sont-ils devenus, une marketplace idéale ?

Il n’est pas difficile de répondre à cette question. Il suffit d’observer l’évolution de ces réseaux sociaux. Le nombre d’utilisateur qui est en constance progression, est bien sûr un indicateur de la bonne santé de ces sites. Il est important de préciser que pas moins d’un milliard d’utilisateur sont actifs chaque mois. Avec des milliards de personnes inscrites sur la liste des abonnés, Instagram est l’un des puissants réseaux.

Il n’est donc pas étonnant qu’on le transforme en marketplace pour tirer le plus de profit possible en profitant de sa popularité. Le trafic du site a fait que c’est un endroit idéal pour faire du commerce en ligne. D’ailleurs, le programme checkout lancé par facebook et instagram ne fait que les propulser à devenir un vrai e-commerce place pour concurrencer le géant du net Amazon.  La dernière option mise en place récemment par Instagram est l’intégration des options de paiements à l’application checkout qui facilitent énormément les transactions. C’est un coup de pouce très crucial dans le développement de business sur le réseau social.

De plus Instagram est concentré d’influenceurs/euses. Ils jouent un rôle très important dans la diffusion de l’image de chaque produit. Ils ont un pouvoir indéniable pour faire connaitre même un produit qui n’est pas connu du grand publique.  C’est un avantage de plus pour les marques. Elles n’ont pas beaucoup d’efforts à faire au niveau de la publicité. Les entreprises ne voient que d’un bon œil ce privilège indéniable.  

Sur les réseaux sociaux, la présentation et la mise en valeur de produits par les influenceurs ne fait qu’encourager les consommateurs à passer à l’acte. Le choix est multiple et varié. Les consommateurs n’ont pas besoin d’aller chercher les produits, mais au contraire ce sont les produits qui viennent vers eux. Avoir le même jogging que son idole n’est plus le problème. En un clic, le produit est réservé et commandé.

Avec un tel engagement de la part des audiences, l’expérience shopping sur le réseau a rencontré un grand succès. Chaque mois, on constate près de 130 millions d’utilisateurs qui cliquent sur un tag de produit. Cette rubrique explore permets également aux utilisateurs de visualiser les produits postés par d’autres comptes.

Comment fonctionnent les opérations d’achat/vente sur les réseaux sociaux ?

L’application shopping a été lancée en 2018 par Instagram. En 2019, c’est la mise en place de checkout qui permet aux utilisateurs de faire des achats sans jamais quitter Instagram. Même si toutes les fonctionnalités du programme ne sont pas encore sophistiquées comme les autres sites du e-commerce, la rubrique « Explore » d’Instagram fait déjà bonne place au shopping. Elle fonctionne déjà comme un vrai site pro. Il ne va pas tarder à grignoter la part de gâteau de Amazon.

Les utilisateurs repèrent un produit via le gestionnaire de publicité, consulte les caractéristiques de produit et le prix et faire une opération d’achat si s’ils décident passer à l’acte. Les opérations commerciales sur le site, d’après les consommateurs, s’avèrent très facile et fluide.

Quels sont les marques qui s’y mettent aux réseaux sociaux ?

La plateforme d’instagram est un cocktail d’image, de description, de business. Il attire l’attention de beaucoup de marques comme Nike, Jonak, Clarin, ….

Selon les patrons des grandes marques, le Retour sur investissement (ROI) sur la plateforme Instagram est plus élevé et plus intéressant par rapport à Facebook ou Google. Le patron de Yves Rocher, de Lengow ou de Jonak sont très optimiste et prédisent une grosse augmentation de trafique de commerce sur les 12 mois à venir. Instagram deviendra un réseau de vente significatif pour tous les professionnels de la mode, de décoration, de la beauté et de sport.

Un exemple de plateformes e-commerce réussis

Côté américain, il y a Amazon qui est mondialement connu pour son business en ligne. Walmart en est un autre exemple.

Côté français, le bon coin est un site de petites annonces qui fait bien son succès dans le e-commerce. C’est une plateforme d’échange, d’achat et de vente entre particulier et entreprise.  Blablacar, covoiturage sont des sites qui proposent des prestations de service entre particulier.   

Côté asiatique, Xiaohongshu est une plateforme chinoise qui a réussi à faire profiter aux millions de chinoises passionnées de beauté, en achetant des produits cosmétiques, les livres ainsi que les autres produits dérivés démontrés dans les vidéos ou autres supports de leurs influenceurs. C’est un modèle de plateforme de vente mixant à la fois le social et le commerce. Plus de 100 milliards de dollars d’opérations commerciales se sont passées sur ce site en 2019. Ce chiffre risque de doubler voire tripler d’ici 2 ans.

Le commerce en-ligne est en train de concurrencer les commerces classiques. Ces derniers n’ont pas d’autres choix que de partager ses parts de marché. Pour survivre, les commerçants vont devoir se mettre à l’internet et suivre ce nouveau modèle économique. Le développement du social shopping va devenir un phénomène mondial. Le profit tiré de cette activité va être partagé entre les vendeurs et les plateformes de vente. Cela fera un revenu supplémentaire à Instagram en plus des milliards et milliards de son bénéfice. C’est un revenu procuré par les opérations de publicité ainsi que les commissions suite à chaque vente.

Read Full Article